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Le réveille-matin : cinq infos qui vont marquer la journée 

ARTICLE 16/03/16 - 06h59
... du jour ce mercredi en Limousin (voir carte ci-dessous ...

Procès pour cambriolages en série : au milieu des dénégations, les premiers aveux  

ARTICLE 16/03/16 - 06h29
Qui était présent sur les lieux des nombreux cambriolages et qui est responsable de quoi ? Huit des seize prévenus ont, tout au long de la journée, été soumis à ces deux questions centrales. Le tribunal a en effet étudié chronologiquement les raids et ...

A quoi ont servi les réserves parlementaires des députés de l'Allier en 2015 ? 

ARTICLE 16/03/16 - 06h01
Voir le détail dans les autres départements d'Auvergne et du LimousinLes députés bénéficient en moyenne de 130.000 € par an, tandis que les membres du bureau de l'Assemblée nationale disposent de 140.000 €, 260.000 € pour les présidents de groupe ou de ...

Trophée Grand Sud-Ouest des cadets 

ARTICLE 16/03/16 - 06h00
... comités d'Aquitaine, Limousin, Midi-Pyrénées et ...

Une victoire du CAP à l’extérieur 15-9 

ARTICLE 16/03/16 - 06h00
... journée du championnat honneur du Limousin, les équipes du CA ...

Tennis Challenge Verbier 

ARTICLE 16/03/16 - 06h00
... du Challenge Verbier (championnat du Limousin hivernal) est plus que positif ...

Le Comité des fêtes affiche des projets ambitieux 

ARTICLE 16/03/16 - 06h00
... lourds) ainsi que Ciné Plus Limousin (séances mensuelles) sont toujours solides ...

Le bâtiment a été transféré au syndicat mixte qui en assure désormais la responsabilité 

ARTICLE 16/03/16 - 06h00
... un bardage en douglas du Limousin, est prévue pour résister ...

Concèze : 130 à 150 jeunes plants de pommiers arrachés et introuvables  

ARTICLE 15/03/16 - 14h58
130 à 150 jeunes plants de pommiers ont été arrachés et sont introuvables depuis ce matin. La parcelle visée se trouve sur la commune de Concèze. Le propriétaire, la Sica du Roseix, une coopérative de pomiculteurs rattachés à Perlim et basée à Saint- ...

Procès du réseau bulgare devant le tribunal de Tulle : le point à la mi-journée ce mardi 

ARTICLE 15/03/16 - 13h01
Le long rappel des poursuites, par lequel le procès du réseau bulgare de cambriolages s'est ouvert lundi, a laissé place, aujourd'hui mardi, à l'analyse des faits de vols aggravés et tentatives de vols aggravés. En début d'audience, un prévenu sur les ...

Le réveille-matin : cinq infos qui vont marquer la journée 

ARTICLE 15/03/16 - 06h59
... °C dans la matinée en Limousin (voir carte ci-dessous) et ... numérisé par la Cinémathèque du Limousin, en présence de Paul d ...

Livre majeur pour club unique 

ARTICLE 15/03/16 - 06h00
... culture et du patrimoine du Limousin ? À cette question, É ... ;association Culture et Patrimoine en Limousin, qui s'est ...

Lancement à Saint-Junien 

ARTICLE 15/03/16 - 06h00
... manche de la coupe du Limousin. Celle-ci marquait le ... du Châtelard. Venus principalement du Limousin, mais aussi de régions ... commission BMX au comité du Limousin, s'est montré ...





- © MH

La cellule départementale d’urgence a fait le point sur les différentes mesures du plan d’urgence pour l’élevage.
Tout d’abord, concernant les remises gracieuses de TFNB et impôts non professionnels, la direction départementale des finances a indiqué avoir enregistré 1 568 dossiers. Pour l’heure, les services travaillent sur les fichiers, notamment afin d’éviter des relances de paiement intempestives. Quoiqu’il en soit, tant que la direction des finances n’a pas donné réponse de façon négative ou positive à la demande de remise gracieuse d’un agriculteur, le délai de paiement court toujours (excepté s’il s’est déjà acquitté de ses impôts).
Coté MSA, le choix régional des critères a été finalisé la veille de la cellule en question. Suite à un abondement obtenu auprès de la caisse centrale de MSA grâce à la mobilisation de la MSA du Limousin ainsi que du syndicalisme majoritaire, la région a pu bénéficier d’une enveloppe globale de 1 140 000 euros. La distribution des aides sociales devra être faite avant le 31 décembre 2015. La procédure de validation des dossiers va donc s’accélérer dans les tous prochains jours. Les débiteurs redevables de cotisations, ceux qui auront contracté des échéanciers ou qui auront rencontré des incidents de paiement au 1er novembre 2015 ont été définis comme prioritaires. Puis dans un second temps, les personnes ayant formulé une demande d’aides FAC verront leur dossier examiné et pourront éventuellement bénéficier d’une prise en charge de cotisation en fonction de leur situation familiale. Le versement de ces aides sera effectué à compter de la mi-janvier pour raisons comptables.
Coté banques, chaque organisme bancaire a pu constater la contraction d’un certain nombre de prêts court terme (liés à la FCO), plusieurs centaines de dossiers de reports d’échéance et de façon marginale de demande d’année blanche.
La mise en œuvre de l’année blanche doit permettre aux éleveurs qui ont des charges d’endettement trop lourdes de se voir proposer des mesures de restructuration de cette dette aboutissant à l’absence de remboursement des prêts bancaires en cours pendant une période de 12 mois. La profession a fortement abondé en ce sens auprès des banques présentes.
Pour ce qui concerne le FAC, la région a été dotée au final de 7 188 429 euros (FAC porcin, FAC Élevage 1, 2 et 3 et 16 % d’aides supplémentaires octroyées par l’Europe). Pour la Creuse, la somme de tous les FAC conduit à une enveloppe de 2 211 500 euros, à laquelle il faudra ajouter les 16 % d’aides européennes. Au 24 novembre, 1 196 dossiers FAC ont été déposés en DDT. 746 sont éligibles. Les dossiers prioritaires (environ 220) seront envoyés à FranceAgriMer par vagues successives et avant le 30 novembre prochain. Ces 220 dossiers verront leurs intérêts bancaires pris en charge à 100 %. Il s’agit des exploitations présentant un taux d’endettement supérieur à 80 %. Pour les autres dossiers, un pourcentage de 60 % de prise en charge a été proposé au regard des disponibilités financières restantes, sous réserve que l’administration puisse récupérer des reliquats d’enveloppe non consommée dans d’autres départements, auquel cas, ce pourcentage pourrait être réévalué. Un tel schéma permet de conserver une enveloppe afin de prendre en charge d’éventuels demandes qui arriveraient d’ici la fin de l’année sachant que la date limite de dépôt des dossiers FAC est au 30 décembre 2015, les restructurations bancaires, les garanties BPI ainsi que les dossiers CUMA. En effet, sur la partie CUMA, une estimation de besoins autour de 120 000 euros a été faite par la FDCUMA selon les critères d’éligibilité définis au niveau national. L’administration a proposé de leur réserver 80 000 euros, soit 60 % de prise en charge comme la majorité des dossiers FAC.
L’administration adressera dans les prochains jours des courriers de réponse positive ou négative aux éleveurs ayant déposé un dossier. L’information dont ne dispose pas la DDT est la date de paiement effective, les dossiers éligibles étant dans les mains de FranceAgriMer. Toutefois, l’objectif affiché de l’administration est une consommation de l’enveloppe globale à hauteur de 90 % d’ici la fin de l’année.




Histoire du Limousin

Le Limousin bénéficie d'une histoire riche et trop peu connue. Bref retour sur quelques grandes dates qui firent le Limousin. Le Limousin est une vieille province. César, déjà, dans « la guerre des Gaules » parle de ce territoire à organiser autour d’Augustoritum, sa capitale, devenue Limoges. Certes, dans l’histoire, il a été souvent divisé. Mais il appartient dans son entier au grand ensemble occitan et, depuis le XVIème siècle et le XVIIème siècle il se présente pour l’essentiel dans sa configuration actuelle.



55 000 av. JC : Occupation humaine, en particulier du bassin de Brive par les hommes de Néanderthal, comme le prouve la découverte en 1908 de la sépulture de l’homme de la Chapelle aux Saints.
750 à 52 av. JC : Age du fer. Les Lémovices, tribu celte, fortifient une dizaine de sites, Villejoubert situé près de Saint Léonard de Noblat étant le plus important. L’artisanat local se développe avec notamment la fabrication de céramiques graphitées.
50 av. J.C. à 200 : Période de prospérité sous les Gallo-Romains : création ex - nihilo d’Augustoritum (Limoges) en - 16, de nouvelles routes sont percées
IVème siècle : Début de l’évangélisation
V et VIèmes siècles : Occupation wisigothe puis franque, progrès de l’évangélisation dans les campagnes
994 : Mal des ardents à Limoges (intoxication mortelle due à l’ergot de seigle), procession des reliques de Saint Martial (premier évêque de Limoges) à travers la ville. De telles processions (ostensions) se déroulent tous les 7 ans depuis 1512 dans une quinzaine de communes pour commémorer cet évènement (plus récentes années ostensionnaires : 2002 et 2009).
Xème siècle : Le Limousin est partagé entre plusieurs grands fiefs : vicomtés de Limoges, Rochechouart (Haute-Vienne), Turenne, Comborn et Ventadour (Corrèze), Aubusson, comté de la Marche (Creuse)
XIIème siècle : Alienor d’Aquitaine épouse Henri II Plantagenêt roi d’Angleterre. Comme l’Aquitaine, le Limousin passe sous domination anglaise. Les seigneurs limousins mécontents des Plantagenêts prennent le parti du roi de France contre le roi d’Angleterre
1199 : Richard Coeur de Lion, fils d’Aliénor d’Aquitaine meurt lors du siège de Châlus
XIIIème siècle : Les émaux limousins se répandent à travers l’Europe
1337 à 1453 : Le Limousin sort dévasté de la guerre de 100 ans
XIVème siècle : Plusieurs papes originaires du Bas-Limousin se succèdent à Avignon
Milieu du XVème : Premières tapisseries à Felletin puis à Aubusson
Fin XVIème : Les guerres de Religion ravagent la province
Fin XVIIème : Sous l’influence de Colbert, des manufactures royales de tapisserie sont créées à Aubusson (1665), Felletin (1685), une manufacture royale d’armes étant créée à Tulle (1690). L’activité industrielle se développe également le long de la Vienne
XVIIIème siècle : Plusieurs intendants de renom se succèdent : d’Orsay (1710-1718, 1724-1730), Tourny (1730-1743), Turgot (1761-1774). Période prospère pour le Limousin : des routes sont percées, la découverte du kaolin à Saint-Yrieix permet la création de la première manufacture de porcelaine à Limoges (1771)
1790 : Création des départements de la Corrèze, Creuse, Haute-Vienne
1842 : David Haviland crée un atelier de porcelaine à Limoges, première implantation américaine en France
1850 - 1870 : Arrivée du train à Limoges (1856) puis à Brive (1860). Développement de l’industrie limousine (porcelaine, chaussure, armes, industrie extractive)
1889 : Bourganeuf est la première ville électrifiée de France
1895 : La CGT est créée à Limoges
1914 - 1918 : Lourdes pertes humaines consécutives à la première guerre mondiale
1940 : Le Limousin devient terre d’accueil pour les populations fuyant la guerre et double sa population
1940 -1945 : Terre de forte implantation de la Résistance, le Limousin endure deux massacres : Tulle et Oradour-sur-Glane en juin 1944
1968 : Création de l’Université

1972 : Création officielle de la région Limousin



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Mises à jour quotidiennes 25 novembre 2015
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Quelle sera la couleur de la nouvelle région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes ? A moins de 15 jours du 1er tour des élections régionales, France ...
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Le climat électoral en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes. A deux semaines du premier tour des élections régionales, les listes d'Alain Rousset ...
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Un nouveau radar en Limousin

Le tout premier radar automatique autonome de la région a été installé aujourd’hui sur l’A20, à hauteur d’Ussac, en Corrèze, dans le sens nord-sud, au début d’un chantier d’élagage.
Ce radar autonome mobile peut être installé n'importe où. Il est actuellement placé sur l'A20, dans le sens nor-sud, à la hauteur d'Ussac en Corrèze, au début d'un chantier d'élagage. © France 3 Limousin

Le cycliste le plus statique du monde est présent au festival des Drôles de Soumans

Clément Leroy de passage en Creuse au festival des Drôles - cédric goessens
Clément Leroy de passage en Creuse au festival des Drôles - cédric goessens
Pour la première édition de son festival des drôles à Soumans, l’association « La Rallonge » a invité le double recordman du monde de vélo sur place : Clément Leroy.
Le jeune homme de 27 ans originaire de Châteaudun (Eure-et-Loir) est psychologue cogniticien de formation, il a débuté son activité acrobatique à l’âge de huit ans : « Tout est parti d’un rêve, j’ai rêvé à huit ans que je savais faire du vélo en marche arrière et je l’ai transformé en réalité, six mois plus tard je savais faire du vélo assis sur le guidon. »
Grands voyages… en vélo statique
Le cycliste acrobate a ensuite effectué un premier record : « En 2001, je suis devenu recordman du monde des 50 kilomètres en marche arrière en devançant un Canadien de quatre minutes à Châteaudun. »
Ce qui motive Clément?? Le ressenti qu’il a lorsqu’il est en équilibre : « Je me retrouve dans un état instable ou il faut toujours s’auto-corriger et je trouve ça intéressant et stimulant. »
Le jeune homme se produit désormais en spectacle : « j’ai monté une représentation qui dure 15 à 18 minutes, je reviens sur mon record du monde à 13 ans puis sur l’épreuve des championnats du monde des coursiers à vélo que j’ai gagnée en 2013. Ensuite je me mets à jongler avec trois, quatre, cinq, six balles pour finir par un petit strip-tease. C’est gentil car il y a des enfants, je suis avant tout là pour mettre l’ambiance et faire lever les gens. »



Un record de chaleur dans le Limousin

1
 - Photo Daniel Goberot
- Photo Daniel Goberot
Ce jeudi un pic de chaleur temporaire a été constaté dans la région du Limousin rapporte Météo France. Il n'a jamais fait aussi chaud depuis 1967. 

Les records de températures ont été battus en Corrèze, en Creuse et en Haute Vienne, avec 37,2 °C à Limoges Bellegarde et 40,1 °C à Brive-La-Gaillarde.

Ce pic de chaleur est exceptionnel, d'ici demain les températures devraient baisser de 2 à 3 degrés. Des orages sont attendus sur la région, mais d'après Météo France il n'y aucun risque que l'on soit en alerte orage violent.


Rugby : le calendrier du Top 14 est connu !

Photo d'archives - Franck BOILEAU
Photo d'archives - Franck BOILEAU
Attendu depuis plusieurs jours, le calendrier du Top 14 vient d'être publié par la Ligue Nationale de rugby. Il offre un début de saison plutôt clément à l'ASM Clermont qui attaquera la saison, le 22 août, par un déplacement à La Rochelle. Quant à l'équipe de Brive, elle se déplacera à Toulouse.

L'ASM avait émis deux souhaits auprès de la Ligue Nationale de rugby : se déplacer lors de la première journée et recevoir lors de la journée placée entre Noël et le Jour de l'an. Les vœux ont été exaucés puisque le club auvergnat débutera la saison 2015/2016 de Top 14 à La Rochelle le 22 août et recevra le Racing le 27 décembre.

Le CA Brive aura une entame de saison plus corsée puisque le club limousin commencera par un déplacement à Toulouse.

 

Un pompier volontaire de Brive grièvement blessé par balle en Corse

Un pompier volontaire du centre de secours de Brive a été blessé par balle, ou par un tir de grenailles, cela reste à déterminer, cette nuit (8 juillet 2015) lors d'une rixe à Bonifacio en Corse-du-Sud. Très grièvement blessé, il a été opéré à l'hôpital d'Ajaccio. Son état demeure préoccupant.  

Le distributeur de billets de la Banque Postale piraté

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Photo d'illustration - La Banque Postale - Archives Florian Salesse
Photo d'illustration - La Banque Postale - Archives Florian Salesse
Le distributeur de billets de la Banque Postale de Guéret, installé en centre-ville, a été piraté du 21 au 23 mai. Des malfaiteurs ont en effet installé un système dit de "skimming" qui permet de récupérer frauduleusement les données des cartes bancaires utilisées dans ce DAB. 

La Banque Postale a porté plainte. Une enquête a été ouverte par les service du commissariat de police de Guéret.

Les inscriptions sont ouvertes pour le championnat du Limousin de courses de brouette


L'Association Clé de Contacts organise le samedi 6 juin en partenariat avec le comité des fêtes d'Aubusson, l'IUT carrières sociales de Guéret et l'association des commerçants, la première course de brouettes du Limousin.
 - FENOUILLET FrédériqueLe concept est simple : des équipes composées de 2 à 6 participants s'affrontent dans le cadre d'une course en relais dans le centre-ville d'Aubusson. La compétition est ouverte à tous à partir de 10 ans pour un passager, et 15 ans pour un pousseur sachant que les équipes peuvent être mixtes et doivent être composées d'au moins une personne majeure.
Chaque équipe doit posséder sa brouette et la personnaliser (avec au minimum le nom de l'équipe affiché dessus). Les participants peuvent également se déguiser en fonction de l'activité ou de la profession qu'ils représentent. Les vainqueurs emporteront le contenu de la « brouette d'or » et posséderont le trophée pendant 1 an jusqu'à sa remise en jeu.. Les courses débuteront à 15 heures, la finale sera jouée après le repas vers 21 heures. Cette manifestation se veut familiale et festive, des animations pour enfants seront proposées pendant toute sa durée, les courses seront ponctuées d'animations musicales, restauration et buvette sur place. La journée sera clôturée par un concert après la finale.
Clé de contact. Pour s'inscrire les équipes peuvent s'adresser soit par mail à david.clédecontacts@voila.fr ou par courrier ou dépôt à Clé de Contacts, 10, avenue de la République, 23.200 Aubusson. Droit d'inscription de 6 euros par équipe.

Insolite : la zébrelle Gribouille retrouvée et capturée samedi dans la Creuse

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Roger Falck cirque la piste aux etoiles echappée d'un zebre - Michèle DELPY
La zébrelle a été retrouvée alors qu'elle se trouvait dans un champ sur la commune de Linard. Elle cherchait la compagnie des vaches.

C’est l’épilogue d’une affaire qui aura tenu en haleine pendant près d’une semaine le nord de la Creuse. Echappée lundi du cirque La piste aux étoiles alors que celui-ci s’installait à Aigurande dans l’Indre, la jeune zébrelle Gribouille a été finalement retrouvée samedi.
Elle a été signalée vers 9 h 30 par un fermier alors qu’elle se trouvait sur la commune de Linard (Creuse). Sur sa page facebook, Nicolas, le fils des exploitants qui habitent Lourdoueix-Saint-Pierre, affirme avoir été le premier à trouver Gribouille, selfie à l'appui. « Elle a été très mignonne mais l'animal va avoir beaucoup besoin de soins pour être de nouveau en forme. Vu son état, quelques jours de plus, et le drame aurait pu arriver » souligne le jeune homme.




Fête, Rassemblement, Célébration, Anniversaire, Bal, Thé dansant
dimanche 17 mai 2015 - Les 30 ans de Radio Vassivière - Royère-de-Vassivière (23)
Salle des Fêtes de Masgrangeas. Rens. : 05 55 64 71 11 ou info@radiovassiviere.com. Animations, spectacles, concerts seront au rdv. Un gala d'accordéon à partir de 15h, à Royère de Vassivière. Radio Vassivière vous propose des reportages sur votre région, des émissions en direct, des quotidiennes avec des jeux, et bien sûr de la bonne musique ! Tél. : 05 55 64 71 11. Site : www.radiovassiviere.com.
Le Lac de Vassivière Pôle Tourisme (source LEI) 05 55 69 76 70 http://www.lelacdevassiviere.com infos-structure Diffuser-Facebook

Spectacle, Concert, Cinéma, Théâtre, Danse, Lecture
dimanche 17 mai 2015 - Opéra : Faust - Guéret (23)
17h30 - Cinéma le Sénéchal. Opéra en cinq actes. Musique de Charles Gounod. Livret de Jules Barbier et Michle Carré. Tél. : 05 55 52 26 44.
Office de tourisme du Grand Guéret info@gueret-tourisme.fr (source LEI) 05 55 52 14 29 http://www.gueret-tourisme.fr infos-structure Diffuser-Facebook

Sport, Compétition, Gym, Randonnée
dimanche 17 mai 2015 - 18ème Semi Marathon - Moutier-d'Ahun (23)
9h30 - Salle d'accueil. Tous les renseignements et fiche d'inscription sont disponibles sur le site : www.moutier-d-ahun-mil.com. Licence ou certificat d'aptitude à la course à pied. Courses de 10 et 21km. Tél. : 06 22 93 49 99.
Office de tourisme Creuse Thaurion Gartempe (source LEI) 05 55 62 55 93 http://www.ahun-creuse-tourisme.com infos-structure Diffuser-Facebook

Fête, Rassemblement, Célébration, Anniversaire, Bal, Thé dansant
dimanche 17 mai 2015 - Fête du Pain - St-Dizier-Leyrenne (23)
10h à 18h - village de lécurette. Remise en service du four à pain du moulin dans le cadre de la fête des boulangers et de la fête des moulins. Vente de pains, pizzas cuites au feu de bois... Salon de l'artisanat d'art et des loisirs créatifs, randonnée pédestre la journée au départ de la salle des fêtes (9h), repas campagnard, ... Tél. : 05 55 64 45 54.
Office de Tourisme intercommunal de Bourganeuf et Royère-de-Vassivière (source LEI) 05 55 64 12 20 http://www.ot-bourganeuf.com infos-structure Diffuser-Facebook

Marché, Foire, Brocante, Salon
dimanche 17 mai 2015 - Vide grenier - Guéret (23)
7h à 18h - parking proche de l'école Langevin, rue Maréchal Leclerc - 2€ le mètre linéaire. Sur réservation. L'association les ptits loups de Paul Langevin organise un vide grenier. Restauration rapide sur place. Tél. : 06 65 67 45 91.
Office de tourisme du Grand Guéret info@gueret-tourisme.fr (source LEI) 05 55 52 14 29 http://www.gueret-tourisme.fr infos-structure Diffuser-Facebook

Spectacle, Concert, Cinéma, Théâtre, Danse, Lecture
dimanche 17 mai 2015 - Festival Départemental des Sociétés de Musique de la Creuse - Bourganeuf (23)
Toute la journée. Animations de rue dans différentes communes. 14h : concert au Hall Polyvalent Rouchon-Mazeirat où les différents groupes interprèteront 3 ou 4 pièces de leur répertoire. Invités d'honneur : société de musique Zirndorf et société de musique de St Léonard de Noblat. Tél. : 05 55 64 07 61.
Office de Tourisme intercommunal de Bourganeuf et Royère-de-Vassivière (source LEI) 05 55 64 12 20 http://www.ot-bourganeuf.com infos-structure Diffuser-Facebook

Spectacle, Concert, Cinéma, Théâtre, Danse, Lecture
dimanche 17 mai 2015 - Spectacle Jeune Public : Monsieur Gaston - Faux-la-Montagne (23)
Goûter proposé par l’association à 16h, Spectacle à 17h. Salle des fêtes. Nous accueillons le Théâtre Carriole pour le spectacle Monsieur Gaston : Une peluche qui se prend pour un bonhomme ! Gaston vit dans une petite maison qui se transforme au fil de l’histoire.. Grâce à la magie du papier, de l’ombre et de la lumière, Il nous conduit sur l’eau, mais aussi dans les étoiles ! Un voyage poétique qui ne manque pas de fantaisie. Pour les enfants de moins de 6 ans, et les grands qui souhaitent revivre la magie de l'enfance. Durée : 20min. Public : 0-6ans. Prix : 3€/enfant, 4€/adulte. Réservation conseillée. http://www.theatre-carriole.fr.
Cadet Roussel 06 95 53 16 84 infos-structure Diffuser-Facebook

Sport, Compétition, Gym, Randonnée
dimanche 17 mai 2015 - Randonnée pédestre - St-Laurent (23)
9h - salle polyvalente. Venez marcher avec le FRJEP de St Laurent pour la journée. Tél. : 05 55 41 19 74.
Office de tourisme du Grand Guéret info@gueret-tourisme.fr (source LEI) 05 55 52 14 29 http://www.gueret-tourisme.fr infos-structure Diffuser-Facebook

Sport, Compétition, Gym, Randonnée
dimanche 17 mai 2015 - Randonnée pédestre - St-Marien (23)
13h30 - Salle polyvalente. Parcours de 10 et 16km organisés par les Marcheurs du Pays de Boussac. Tél. : 05 55 65 16 86.
Office de tourisme Pays de Boussac (source LEI) 05 55 65 05 95 http://www.tourismeboussac.fr infos-structure Diffuser-Facebook

Sport, Compétition, Gym, Randonnée
dimanche 17 mai 2015 - Randonnée de la Fête du pain - St-Dizier-Leyrenne (23)
8h30 - esplanade du téléthon. Randonnée de 18km. Tél. : 05 56 64 45 18.
Office de Tourisme intercommunal de Bourganeuf et Royère-de-Vassivière (source LEI) 05 55 64 12 20 http://www.ot-bourganeuf.com infos-structure Diffuser-Facebook

Sport, Compétition, Gym, Randonnée
dimanche 17 mai 2015 - Randonnée pédestre - Le-Donzeil (23)
9h15 - salle polyvalente. Participation libre. Randonnée de 10km en soutien à la souscription de la Fondation du Patrimoine pour la restauration des bâtiments du Moulin. Apéritif offert à l'arrivée par l'Amicale Laïque du Donzeil. Tél. : 05 55 66 97 34.
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Visite, Exposition, Découverte, Présentation, Concours
dimanche 17 mai 2015 - Les aventuriers de l'écrit - Fresselines (23)
10h - Galerie l'œil et la main. Les aventuriers de l'écrit vous propose une journée du livre en présence d'écrivains, avec pour thème " Passeur d'histoire". Tél. : 05 55 81 04 65. Site : www.l-oeil-et-la-main.odexpo.com.
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Visite, Exposition, Découverte, Présentation, Concours
dimanche 17 mai 2015 - Autres dates Exposition : Dominique Lorsery et Rob Kirkels - Fresselines (23)
15h - Galerie l'œil et la main. Venez découvrir l'exposition mensuelle de la galerie l'œil et la main. Tél. : 05 55 81 04 65. Site : www.l-oeil-et-la-main.odexpo.com.
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Visite, Exposition, Découverte, Présentation, Concours
dimanche 17 mai 2015 - Exposition : Révolution 1 - Moutier-d'Ahun (23)
15h à 18h - La Bergerie. Art contemporain et exposition d'artistes amis de la Bergerie. Exposants : arthotèque et artistes limousins. Tél. : 06 18 49 84 50. Site : www.labergerie-expo.fr/.
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Visite, Exposition, Découverte, Présentation, Concours
dimanche 17 mai 2015 - Autres dates Exposition : Le thé et la céramique en Asie - Chéniers (23)
Pendant les heures d'ouverture de la Tuilerie de Pouligny. Accès inclus dans le billet d'admission à l'Écomusée. L'exposition "Chanoyu" vous permettra de découvrir ou redécouvrir l'histoire du thé, ses modes de consommation et surtout l'influence de ce dernier sur les céramistes et leurs créations. Tél. : 05 55 62 19 61. Site : www.tuilerie-pouligny.com/.
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Visite, Exposition, Découverte, Présentation, Concours
dimanche 17 mai 2015 - Autres dates Exposition : Le pinceau de Guillaumin - Crozant (23)
Hotel Lépinat, à partir de 14h15. Découvrez grâce à un livret de visite enfant l'histoire des peintres de la Vallée de la Creuse et partir à la recherche du pinceau de Monsieur Guillaumin. Tél. : 05 55 63 01 90. Site : www.hotel-lepinat.com.
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Marché, Foire, Brocante, Salon
dimanche 17 mai 2015 - Foire annuelle - Chambon-sur-Voueize (23)
Matin - place Aubergier. Tél. : 05 55 82 11 36.
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Visite, Exposition, Découverte, Présentation, Concours
dimanche 17 mai 2015 - Exposition de loisirs créatifs - Ahun (23)
10h - Salle Christian Lanoy. Exposition vente d'objets de loisirs créatifs fabriqués par les adhérents de l'association Ahun Accueil. Tél. : 05 55 66 62 48.
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Visite, Exposition, Découverte, Présentation, Concours
dimanche 17 mai 2015 - Autres dates Expo de peintures - Jacques Baudru - Evaux-les-bains (23)
Maison du Patrimoine. En présence de l'artiste. Le point de départ de chaque oeuvre est un document photographique entièrement déstructuré en zones de couleurs en aplats ou en grisés, reconstruites par passages successifs de petites touches de couleurs (divisionnisme). Les peintures utilisent la technique de l'acrylique et les dessins sont au fusain, à la mine de plomb et à l'encre de chine. Tél. : 05 55 65 50 90.
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Visite, Exposition, Découverte, Présentation, Concours
dimanche 17 mai 2015 - Autres dates Appel a contribution : 7èmes Journées Éditions et BD indépendantes -Royère-de-Vassivière (23)
A l’occasion des 7èmes Journées Éditions et BD indépendantes qui se tiendront sur le Plateau de Millevaches du 9 au 18 octobre 2015, Emile a une vache agrandit son catalogue avec le fanzine collectif ouvragé avec soin et avec vous : Ma petite foret. Nous attendons vos contributions (1 à 4 pages combinant images et textes pour raconter vos meilleurs histoires et trucs et astuces sur le bois et la forêt) pour le 30 juin 2015. Format du livre : 21x14,5 cm ; résolution 300 dpi, bitmap ; fichiers à envoyer à : emile@latelier23.com ou par la poste à : association Emile a une vache, Place de la Mayade, 23 460 Royère de Vassivière. Chaque auteur recevra son exemplaire, le reste du tirage sera vendu 5 euros.




Offre emploi du 5 mai 2015

Professeur / Professeure à domicile
CDD | MATELEM
Nous recherchons un professeur particulier en anglais pour un élève de niveau...
23 - GUERETCDD05/05/2015Origine de l'offre : site pole-emploi.fr
optimaleAide électricien monteur / électricienne monteuse réseaux
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Vous occupez un poste de technicien de production laitière au sein du service...
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CDI | SARL HAIR SHOW
Vous devez avoir une bonne connaissance des soins et de l'onglerie. vous êtes...
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optimalePeintre automobile
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La concession Renault de Guéret recherche un peintre automobile confirmé H/F....
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optimaleCoiffeur / Coiffeuse
CDD | AMBIANCE SALON DANIELE
vous devez être autonome.vous ferez la coupe, couleur , permanente .
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Ou manger dans la région :

Le Crep'Chignon

Restaurants spécialisés | CHENERAILLES | 05 55 41 53 52
Restauration traditionnelle - crêperie - saladerie - snack - Pizzeria -frites maison - sandwichs - formules... sur place ou à emporter. Plat du jour : fondu creusois
menu à partir de 11.9 €

Chez Thérèse

Restaurants | PEYRAT LA NONIERE | 05 55 62 32 47
Tous les jours uniquement sur réservation
menu à partir de 13 €
Restaurant Aux 2 Pianos

Restaurant Aux 2 Pianos

Restaurants | CHAMBON SUR VOUEIZE | 05 55 82 13 97
Un café restaurant à l'ambiance chaleureuse et conviviale. marc en cuisine vous concocte ses petits plats à base de produits frais, Françoise vous accueille au bar et en salle. (sur réser...
menu à partir de13.50 €
Restaurant du Grand Hôtel Thermal - Le Trianon

Restaurant du Grand Hôtel Thermal - Le Trianon

Restaurants | EVAUX LES BAINS | 05 55 82 46 00
Situé à 600m du bourg, le restaurant Le Trianon vous accueille tous les jours dans un cadre Belle Epoque. Cuisine savoureuse au gré des saisons à base de produits du terroir limousin. Spé...
menu à partir de 15.9 €
La Croix Blanche

La Croix Blanche

Restaurants | LEPAUD | 05 55 65 12 81
Plat du jour. Menus les week-ends, réservation recommandée, Soirées à thème. Ouvert 7 jours sur 7 toute l'année.
Café du Commerce

Café du Commerce

Restaurants | EVAUX LES BAINS | 05 55 82 04 39
Café, petits-déjeuners, glaces, pizzas à emporter ou à déguster sur place, plat du jour, dépôt du journal "La Montagne". Fermeture le mardi.
menu à partir de 9.5 €

Le Poivre et Sel

Restaurants | SAINT CHABRAIS | 05 55 41 59 33
Cuisine traditionnelle.
menu à partir de13.50 €
Le Chalet d'Antan

Le Chalet d'Antan

Restaurants spécialisés | EVAUX LES BAINS | 05 55 65 50 68
Michel et Laurence vous accueillent dans un décor chaleureux de montagne pour vous faire découvrir un large choix de crèpes, de galettes et de nombreuses spécialités de montagne.
menu à partir de 4.40 €
Le Relais de Combraille

Le Relais de Combraille

Restaurants | LEPAUD | 06 20 73 24 31
Restaurant de type brasserie. Produits et viandes de Pays. Service non stop de 11h30 à 21h. Service après 21h sur Réservation. Ouvert 7j/7
 Le Sully

Le Sully

Restaurants | GOUZON | 05 55 62 21 13
Au Sully, on ne sert que des produits frais locaux, tout est de bon goût, de bonne fourchette, de bonne poêlée, servie dans une ambiance rurale et sympathique. Restaurant ouvert tous les...
menu à partir de 13 €




Limousin : 590 millions d'euros au titre du Contrat de plan Etat-région

Le montant du CPER (Contrat de Plan Etat Région) 2015-2020 pour la région a été dévoilé ce jeudi lors de la réunion de la commission permanente du conseil régional qui se tenait ce jeudi à Limoges. 590.828 millions d'euros, soit 800 euros par habitant pour les cinq prochaines années.
  • Par Marine Guigné
  • Publié le 30/04/2015 | 18:16, mis à jour le 30/04/2015 | 19:42
© Babsy
© Babsy
La commission permanente du conseil régional s'est réunie ce 30 avril. Au menu des discussions, les subventions, attribuées par cette dernière, et qui cette année s'élèvent à près de 13 millions d'euros. Un effort important a été consenti en faveur dudéveloppement économique, de l'emploi et du tourisme. Une enveloppe de 4 852 145 euros a été allouée à ce secteur. L'aménagement durable des territoires, lui, bénéficie de 3 159 864 millions d'euros. Autre priorité l'éducation, la formation et la recherche, avec 2 616 342 millions d'euros.

A cette occasion, le montant de l'enveloppe du contrat de plan Etat-région a été dévoilé.12,5 milliards d'euros au niveau national pour la période 2015-2020, dont590.828 millions d'euros au bénéfice du Limousin.




Accident mortel sur la RN 147 : une jeune fille de 20 ans perd la vie

A 11h50 une voiture a percuté un camion sur la RN147 à Peyrilhac. Sa conductrice, une jeune fille de 20 ans, qui circulait dans le sens Bellac-Limoges, a fait un écart et a percuté un camion venant en sens inverse, camion qui a lui même été percuté par un camion qui le suivait.

La jeune fille est décédée. Le conducteur du premier camion est choqué.

info la montagne

L'ancienne maison de retraite prête à accueillir des demandeurs d'asile

Lu 384 fois 1

centre accueil pour demandeurs d'asile à Peyrelevade - BRIVE Agence
À Peyrelevade, le Centre d’accueil de demandeurs d’asile, aménagé dans l’ancienne maison de retraite, va accueillir jusqu’à soixante réfugiés.
D’ici la fin du mois, soixante personnes vont rejoindre la population de Peyrelevade, commune de 816 habitants. Des demandeurs d’asile venant de Syrie, Russie, Ukraine, Somalie, Soudan…, qui vont être hébergés dans le nouveau centre d’accueil (CADA). Avec l’arrivée des premiers réfugiés en cette fin de semaine, le projet porté par la commune qui a répondu à un appel à projet national du ministère de l’Intérieur (*), est en train de se concrétiser : « Le but de créer un CADA sur la commune a été de redynamiser le bourg et d’occuper l’ancienne maison de retraite », précise le maire Pierre Coutaud.

Le ticket de Loto à 6 millions d'euros a été validé à Decize

Photo d'illustration. - MASSON  Christophe
Photo d'illustration. - MASSON Christophe
La Française des Jeux a communiqué, vendredi 10 avril 2015, la ville dans laquelle le ticket gagnant du Loto, d'une valeur de six millions d'euros, a été validé : il s'agit de Decize !

C'est une femme qui a remporté ce gain lors du tirage du Loto du 23 mars 2015, indique la FDJ. Celle-ci précise, dans un communiqué, que "la gagnante, qui joue à LOTO depuis plusieurs années avec ses numéros fétiches, a appris par des membres de sa famille qu’elle avait gagné la somme de 6 millions d'euros ! Ces derniers, alors qu’ils regardaient le tirage LOTO à la télévision, ont réalisé que la combinaison gagnante correspondait à ses numéros fétiches. Ils ont alors immédiatement téléphoné à la gagnante pour lui apprendre la bonne nouvelle ! Ravie, elle projette de gâter ses proches et de se faire plaisir".

FDJ® communique le point de vente dans lequel le ticket a été validé : il s'agit du Bar Tabac Les Remparts, BAR TABAC RAP LOTO / SALLANT, 7 ROUTE DE MOULINS à DECIZE (58).

Il s'agit du troisième plus gros gain FDJ remporté dans le département de la Nièvre (deuxième à égalité avec un autre en réalité) et du premier gain de l'année. Retour sur les gains précédents dans la Nièvre :






Limousin : sept décès en six jours sur les routes

  • Les statistiques sont terrifiantes. En l’espace de six jours, sept personnes ont perdu la vie sur les routes du Limousin.
    Ce lundi encore, un pilote de deux-roues âgé de 16 ans est mort dans une collision avec une voiture, aux alentours de 7h30, sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche. L’accident s’est produit au niveau du Pont de la Loue sur la départementale 901 à l’entrée ouest de la commune alors que le jeune homme dépassait une voiture à hauteur d’une intersection.
    Celle-ci, conduite par un habitant de Saint-Yrieix-la-Perche âgé de 29 ans, a été percutée au niveau de la portière alors qu’elle tournait sur la gauche. Le pilote du deux-roues, Nicolas Babaudou, domicilié à Ladignac-le-Long n’a pas survécu.
    Un accident qui s’ajoute à une longue liste d’accidents mortels où, depuis le 10 février, il ne se passe pas deux jours sans qu’une nouvelle famille limousine soit endeuillée. Tous les profils sont concernés : mardi dernier, c’est une femme de 95 ans qui avait été renversée par une voiture en Corrèze, à Tulle dans le quartier de la gare. Jeudi 12, un conducteur circulant à grande vitesse avait perdu le contrôle de sa voiture à Voutezac et percuté un arbre. Son passager était mort sur le coup, lui un peu plus tard. Les deux jeunes gens, âgés de 25 et 33 ans étaient originaires d’Allassac en Corrèze. Le lendemain, c’est une mère de famille originaire du Puy-de-Dôme qui avait grillé un stop à Augères, en Creuse. Sa voiture avait été violemment percutée. Elle avait perdu dans le choc ses deux fils de 22 et 32 ans.
    Samedi 14, c’est une femme de 31 ans qui, encore en Corrèze à Saint-Frejoux avait trouvé la mort. La voiture dans laquelle elle se trouvait, avec son mari et leurs enfants de 4 et 6 ans avait fait un tonneau. Le père et ses filles étaient sortis indemnes de l’accident. Evidemment en état de choc.


De jeunes motards pleins d’ambition !


  • L'Association de jeunes motards. Une nouvelle association vient de voir le jour à Chambon-sur-Voueize. Créée à l'initiative de jeunes motards habitant la commune, elle s'adresse à tous ceux qui ont en commun la passion de la moto. Ses objectifs sont multiples...
  • LIMOUSIN > CREUSE > CHAMBON-SUR-VOUEIZE 29/11/14 - 06H00

Les gendarmes célèbrent leur patronne

  • Lu 5 fois  
    Fête de Sainte-Geneviève : gendarmerie d'Aubusson. Samedi dernier, la compagnie de gendarmerie départementale d'Aubusson a célébré sainte Geneviève, patronne de la gendarmerie nationale. Les militaires des unités de la compagnie (COB Gouzon, Felletin,...
  • LIMOUSIN > CREUSE > CHAMBON-SUR-VOUEIZE 26/11/14 - 06H00

Des p’tits déj avec une bonne dose de rire

  • Les P'tits déj du samedi matin. Le prochain rendez-vous des P'tits déjs approche à grand pas ! Au menu, la venue de Martine Medjber, psychothérapeute, rigologue experte et enseignante en rigologie et en yoga du rire, auteur de trois livres ( Le rire...
  • LIMOUSIN > CREUSE > CHAMBON-SUR-VOUEIZE 25/11/14 - 06H00

Les collégiens dans les starting-blocks

  • Lu 2 fois
    Cross annuel du collège Jean-Zay. Le cross annuel du collège s'est déroulé dans l'enceinte de l'établissement et a réuni tous les élèves. Les professeurs assuraient la sécurité et le commissariat de l'épreuve quand d'autres étaient affairés aux résultats...
  • LIMOUSIN > CREUSE > CHAMBON-SUR-VOUEIZE 21/11/14 - 06H00

Bourse aux jouets et vêtements

  • Lu 5 fois
    Bourse aux jouets et vêtements. L'association Les petits bouchons de Chambon organise une bourse aux jouets et vêtements au profit des écoles maternelle et primaire de Chambon, dimanche 30 novembre, à la salle des fêtes, à partir de 8 heures pour les exposants. Le...
  • LIMOUSIN > CREUSE > CHAMBON-SUR-VOUEIZE 21/11/14 - 06H00

L’épineux dossier des ordures ménagères

  • Lu 113 fois
    Réunion du Conseil communautaire. Le Conseil communautaire Evaux-Chambon s'est réuni à la médiathèque de Chambon, autour de son président, Nicolas Simonnet autour des dossiers suivants, à commencer par l'épineux dossier des ordures ménagères. Ordures ménagères....
  • LIMOUSIN > CREUSE > CHAMBON-SUR-VOUEIZE 20/11/14 - 06H00

Une sortie dominicale au cœur du bocage

  • .La balade proposée dimanche 23 novembre par Marche en Combraille avec les randonneurs de l'Office de tourisme suivra le circuit de Montbardoux à travers le bocage autour de Budelière. Cette boucle d'une petite dizaine de kilomètres qui enserre le bourg et traverse Saget,...
  • LIMOUSIN > CREUSE > CHAMBON-SUR-VOUEIZE 13/11/14 - 06H00

Toujours la pêche au Graf de Combraille

  • Le Graf de Combraille en assemblée généraleLe Graf de Combraille a tenu son assemblée générale ordinaire à la médiathèque intercommunale. Les adhérentes ont fait le point sur l'année 2014 qui se termine et programmé les perspectives pour 2015. Les activités se poursuivent notamment...
  • LIMOUSIN > CREUSE > CHAMBON-SUR-VOUEIZE 13/11/14 - 06H00

Le collège se met à l’heure européenne

  • Lu 5 fois
    Impliqué depuis plusieurs années dans le développement de l'apprentissage des langues vivantes en général et de l'anglais en particulier, le collège Jean-Zay a franchi une étape supplémentaire cette année, en proposant un atelier « anglais européen »...
  • LIMOUSIN > CREUSE > CHAMBON-SUR-VOUEIZE 07/11/14 - 06H00

On bat les cartes dimanche au collège Jean-Zay

  • Du Creusois et des Jeux. Dimanche 9 novembre, le collège Jean-Zay à Chambon-sur-Voueize propose de venir s'amuser entre ses murs de 14 à 18 heures. L'opération consiste à rassembler des personnes de tous âges et de toutes sensibilités pour jouer ensemble....
  • LIMOUSIN > CREUSE > CHAMBON-SUR-VOUEIZE 05/11/14 - 06H00

Une randonnée hors des sentiers battus

  • Lu 7 fois
    Randonnée : aAprès la sortie de Viersat, la marche du dimanche 9 novembre empruntera les chemins de Saint-Loup et de Saint-Julien en s'éloignant des sentiers battus et balisés. 10 km de découverte En partant du bourg de Saint-Loup, le parcours prend...

un pompier de 38 ans retrouvé pendu au centre de secours

Le pompier de Montluçon aurait tenté de se donner la mort. Il a été immédiatement évacué à l'hôpital d'Estaing de Clermont-Ferrand

Auvergne : un pompier de 38 ans retrouvé pendu au centre de secours
Ses collègues l'ont découvert pendu à l'intérieur de la tour d'entraînement du centre de secours de Montluçon . Selon les informations du journal La Montagne, un pompier a tenté de se donner la mort lundi soir vers 21 heures.
Alors que l'homme de 38 ans était inanimé, ses confrères lui ont administré les premiers soins avant qu'il ne soit évacué vers l'hôpital d'Estaing à Clermont Ferrand. Un hôpital où il se trouve toujours ce mercredidans un "état grave" annonce le journal La Montagne. 


Jacques Chirac
François Hollande et Jacques Chirac étaient réunis ce matin à Paris au Musée du quai Branly, lors de la remise du Prix 2013 de la Fondation Chirac pour la prévention des conflits, décerné au congolais Denis Mukwege.

Le groupe américain basé à Saint-Junien a signé hier une convention de revitalisation.  375.000 € seront déboursés pour créer au moins 43 emplois, alors que la société vient de licencier presque les 2/3 de son personnel depuis la rentrée. Incompréhension des syndicats.

LGV
Le Collectif anti-LGV & pro-POLT tiendra une nouvelle conférence de presse, ce jeudi à 11H00, salle Blanqui 2, à Limoges.


Une couche de neige plutôt épaisse est tombée cette nuit sur la Corrèze et la Creuse comme l'avait annoncé hier Météo France





Des gymnastes de Limoges championnes de France juniors par équipe

Les gymnastes de l’Elan Sportif et Elfes de Limoges ont été sacrées au championnat de France de la fédération sportive et culturelle de France, qui se déroulait en Ardèche.
Mis à jour le 30/06/2013


En Limousin, tout est prêt pour accueillir les juilletistes

En cette fin juin, les professionnels du tourisme se préparent à recevoir les premiers vacanciers, français ou étrangers. Mais la météo incertaine rend les réservations plus aléatoires.
Mis à jour le 30/06/2013


Guéret (23) : vente aux enchères de peintures de Crozant et de tapisseries d'Aubusson

Comme chaque année, la vente organisée cet après-midi devrait attirer de nombreux amateurs et connaisseurs de l'art creusois.
Mis à jour le 30/06/2013


Un hommage national devrait être rendu à Alain Mimoun lors de ses obsèques en milieu de semaine

Une cérémonie serait organisée aux Invalides, avant l'inhumation du corps de l'athlète au cimetière de Bugeat en Corrèze.
Mis à jour le 30/06/2013


Hommage à Alain Mimoun au départ du semi-marathon de Vassivière

Les coureurs ont respecté une minute de silence avant de prendre le départ ce matin.
Mis à jour le 30/06/2013


Chabanais (16) : cinq mois après la mise en place de la déviation, la commune revit

Depuis février, la RN141 contourne la ville, au grand soulagement des habitants qui ont retrouvé un peu de calme.
Mis à jour le 30/06/2013


Tour de France : en Haute-Vienne, la famille Médérel est derrière Maxime

La famille du coureur limousin a suivi de près la première étape du 100e Tour de France qui avait lieu aujourd'hui en Corse.  Maxime Médérel a terminé à la 117e place.
Mis à jour le 29/06/2013


Fuite de gaz dans un train de fret en Haute-Vienne : un incident grave évité

Le convoi a été immobilisé en gare de Saint-Sulpice-Laurière. La circulation sur la ligne Paris-Limoges-Toulouse est restée interrompue pendant plusieurs heures. 
Mis à jour le 29/06/2013


Balade à Tulle pour Bertrand Tavernier

Le cinéaste était l'invité d'honneur de la 4e édition du festival "Ciné d'été à Tulle".
Mis à jour le 29/06/2013


De la Bretagne au Limousin : Tri Yann ce soir à Catalacum

Les « trois Jean de Nantes » sont en tête d’affiche du festival de Chaptelat, en Haute-Vienne. Le public pourra aussi découvrir trois autres groupes en ouverture de la soirée.
Mis à jour le 29/06/2013


Les élus de la Vienne ne croient plus en la LGV

Le rapport Duron, qui classe le projet de LGV Limoges-Poitiers "dans les secondes priorités après 2030", a déjà des conséquences. Selon nos confrères de la Nouvelle République, le Conseil Général de la Vienne a retiré une délibération sur le sujet de son ordre du jour.





































Découpage électoral : 33 circonscriptions supprimées ?


le 12 avril 2009 à 12h09 , mis à jour le 12 avril 2009 à 12h22.

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Assemblée nationale hémicycle députés

L'Assemblée nationale. Image d'archive. / Crédits : TF1-LCI
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À lire aussi
POLITIQUEJean-Marc Ayrault et Pierre Moscovici s'attaquent au projet, dénonçant notamment la volonté de sanctuarisation de certaines circonscriptions par l'UMP.
Nouvelle pomme de discorde en vue entre majorité et opposition ? Le projet de découpage électoral du gouvernement entraînerait la suppression de 33 circonscriptions, dont 18 actuellement détenues par la gauche et 15 par la majorité UMP-NC, a annoncé samedi le secrétaire d'Etat à l'Intérieur, Alain Marleix.

Parmi les circonscriptions détenues par la gauche, 16 le sont par un socialiste, une par un Verts, et une par un apparenté PCF. En métropole, elles sont situées dans l'Allier, la Charente, la Creuse, l'Indre, la Moselle, la Nièvre, le Nord et le Pas-de-Calais (deux circonscriptions dans chacun de ces départements), le Puy-de-Dôme, les Hautes-Pyrénées, la Saône-et-Loire, deux à Paris (un socialiste et un apparenté PCF), les Deux-Sèvres et la Haute-Vienne. La droite verra des circonscriptions en moins notamment en Corrèze, en Creuse, en Lozère, dans la Manche, la Marne, en Meurthe-et-Moselle, dans le Nord, le Haut-Rhin, la Haute-Saône, à Paris, en Seine-Maritime, dans le Tarn et le Val-de-Marne. Ces informations sont à prendre avec prudence, a prévenu M. Marleix, en soulignant que le travail n'était "pas terminé".

Ayrault et Moscovici à l'offensive

La commission de contrôle des opérations de découpage sera mise en place le 21 avril par le Premier ministre François Fillon. Les projets d'ordonnance ne lui seront communiqués qu'ensuite. La commission aura deux mois pour rendre ses avis. Le Parlement devra se prononcer définitivement avant le 8 janvier 2010. Alain Marleix a fait valoir que ce n'était "pas le gouvernement qui désirait supprimer ces circonscriptions", mais "la loi en fonction des résultats des recensements de la population". Relevant que le projet de redécoupage était le résultat de plusieurs centaines d'heures de travail avec les députés de la majorité et de l'opposition et que la procédure continuait, le secrétaire d'Etat a ajouté qu'il ne voyait pas "comment de manière objective et sérieuse le PS (pouvait) tirer des conclusions de ces consultations".

A gauche, le chef de file des députés PS, Jean-Marc Ayrault, avait cependant tiré dès mercredi la sonnette d'alarme sur cette question du découpage électoral, en interpellant le secrétaire d'Etat lors de la séance des questions au gouvernement. Et dimanche, sur Europe 1, c'est le député PS du Doubs Pierre Moscovici qui a accusé l'UMP de vouloir"sanctuariser" des circonscriptions. L'ancien ministre a également accusé le gouvernement d'avoir procédé à un "tripatouillage".
 (écoutez sa déclaration en cliquant ici).



GARDONS le souvenir

Dans le Limousin, les ruines d'Oradour-sur-Glane représentent beaucoup pour les habitants. Cependant, 70 ans après l'horreur, celles-ci commencent à céder et devenir dangereuses pour les visiteurs. La question se pose alors: faut-il tout conserver ou uniquement les bâtiments principaux? 
  • Par Gaelle Fauquembergue
  • Publié le 15/04/2013 | 11:32, mis à jour le 16/04/2013 | 09:58
Si les bâtiments et les murs principaux du site tiennent, les cloisons ont du mal à résister au temps qui passe. © France 3
© France 3 Si les bâtiments et les murs principaux du site tiennent, les cloisons ont du mal à résister au temps qui passe.
Tous les ans, l'Etat consacre 150 000 euros à l'entretien des murs d'Oradour-sur-Glane. Le site, devoir de mémoire, voit pourtant tous les jours le temps faire son oeuvre et les dégradations naturelles sont de plus en plus visibles.

Une architecte des bâtiments de France s'est rendue sur place, au côté du Maire pour constater les réparations possibles ou non: infiltration d'eau, cloison qui s'effondre etc. Le site devient même dangereux à certains endroits.

Le maximum est fait pour garder en l'état le plus d'édifices possibles, en respectant le passé de l'endroit, cher à beaucoup de limousins. Cependant, la question est tout de même posée: faut-il garder tous les lieux ou uniquement les plus symboliques? (soit l'église, la rue principale et la grange, par exemple).
Le maire désire tout conserver en l'état, pour une question affective, mais dans ce cas, les fonds devront suivre.

L'association des Martyrs d'Oradour, elle, prêche pour une conservation du site tel qu'il est aujourd'hui, tout en effectuant quelques travaux pour la sécurité des visiteurs.

Le sort des ruines d'Oradour-sur-glane devrait bientôt se jouer à la Préfecture du Limousin.







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 <iframe width="640" height="360" src="http://www.youtube.com/embed/pE5l0RF0KEM" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> LA REVOLTE DES BOUSEUX 
 
La très vive réaction des Creusois, artistes, élus et anonymes, après l’article du magazine Technikart « La bouse ou la vie » (lire par ailleurs), n’en finit pas d’alimenter les réseaux sociaux… et désormais la presse nationale. Après Rue89, la galaxie Radio France (France Bleu Creuse puis France Info) ou Le Figaro.fr, c’est au tour de Marianne et du site Internet du Point de plonger leur plume dans la terre creusoise.
Excuses
Le chroniqueur du Point Jérôme Cordelier lance un vibrant « I love Creuse », peuplant le pseudo-désert culturel des artistes qui y créent ou créaient : Claude Miller, Éric Reinhardt, Claude Chabrol, Sylvie Granotier ou Michel Houellebecq : « C’est grâce à ce territoire [qu’il] a décroché sa carte du Goncourt ! ».
Le magazine Marianne a, lui, dépêché journaliste et photographe à Guéret. Au fil de quatre pages intitulées « La révolte des “bouseux” contre le chic parisien », l’hebdomadaire prend le contre-pied du mensuel branché et dépeint une Creuse certes loin de la profusion de l’offre urbaine, mais où une collégienne de 14 ans a vu « le Hamlet de Mesguich et Arthur H ».
En avant-première, La Montagne annonçait la publication dans Technikart d’un édito spécial consacré à la polémique, assorti d’un droit de réponse du député de la Creuse et maire de Guéret, Michel Vergnier. L’édito s’étire sur trois pages et contient un florilège des critiques, insultes voire menaces reçues par le magazine, qui revendique son ton outrancier et en appelle encore et toujours à l’humour. La ville a lancé une invitation au magazine pour le 29 juin, afin de porter un autre regard sur le territoire.
Les réactions sur le Web, depuis, n’ont faibli ni en intensité, ni en pluralité. Il n’est pas écrit qu’une nouvelle rencontre ait lieu.
Julien Bigay


 9-15 juin 2012
La révolte des "bouseux" contre le chic parisien
 Agrandir la photo, lire l'article (complet dans Marianne du 9 au 15 juin)...


     Par Jérôme Cordelier
 À force de vouloir être branché, on devient ringard. Technikart, magazine parisianiste à faible tirage, a suscité un immense émoi en Creuse en attaquant bille en tête - on se demande bien pourquoi - Guéret et ses environs pour son inactivité culturelle sous un titre flatteur : "La bouse ou la vie". La direction présente ses excuses dans le numéro de ce mois-ci. Bien obligé. Car cette prise de position a dépassé les voeux de nos provocateurs. Les Creusois, plus branchés que certains peuvent le croire, se sont déchaînés sur les réseaux sociaux. Une véritable jacquerie internétique qui a laissé pantois nos Parisiens, d'habitude plus prompts à la repartie.
Certes, la Creuse n'est pas le coeur de cible de ce magazine : la maison de la presse de Guéret vend deux exemplaires de Technikart à chaque livraison. Mais quand même... Nos amis devraient traîner un peu plus leurs basques dans ce coeur vert de la France.
Une terre qui inspire les écrivains
À l'instar de Claude Miller, metteur en scène et scénariste, qui a écrit en Creuse l'essentiel de son oeuvre, ou de l'écrivain Éric Reinhardt, dont le livre-star de l'année littéraire 2011 Le système Victoria s'achève ici même, ou encore l'auteur de polars Sylvie Granotier, qui a fait de cette terre "son" Montana. Perdue pour la culture, la Creuse ? C'est grâce à ce territoire que Houellebecq a décroché la carte du Goncourt ! Et on ne vous dit pas ce que penserait d'une telle polémique le cinéaste Claude Chabrol, qui y avait ses racines et y faisait sans cesse référence. On attend la réaction du maire d'Argenton-sur-Creuse (dans le département voisin de l'Indre), nouveau ministre et ami intime de François Hollande, Michel Sapin dont la maison sert actuellement de scène pour le tournage d'un film fantastique, Fièvre. Nos amis de Technikart n'ont pas trouvé la fièvre à Guéret, Bourganeuf ou La Souterraine. Plus qu'une seule solution pour eux : s'attaquer à la Corrèze. Même pas cap ! 
- Nombreuses réactions à écouter sur France Bleu Creuse
- Le Magazine branché Technikart publie cette semaine un violent papier sur la Creuse, Guéret et ses habitants. Les réactions ne se sont pas faites attendre. Reportage de Boris Letondeur dans le journal de 17h.
- En cause un article paru dans le magazine ce mois-ci. Le titre : "la Bouse ou la Vie" ! L'auteur se demande comment être jeune et branché dans la préfecture creusoise. Au final : quelques vérités et énormément de poncifs du genre "la Creuse trou du cul du monde", "vie sociale consanguine" ou "Guéret ville de viocs et de ploucs". Réactions outrées, forcément.


 
    

Colère en Creuse après un article de Technikart, « La bouse ou la vie »
La Creuse choisit la vie, née de la bouse. - ph : mathieu tijeras
« La bouse ou la vie » : Guéret, désert pour tous les jeunes branchés. Le magazine Technikart charge, et la Creuse crie. Avant de contre-attaquer ?
La Creuse, pays des bouseux, avec Guéret pour morne capitale. La tarte à la crème est si vieille qu'elle dégage une odeur rance et ne mérite pas ré (d) action. Ce fut notre première réaction, au sein de la rédaction locale de La Montagne, à la lecture de l'article du magazine Technikart intitulé « La bouse ou la vie ». Mais depuis, le sujet est sur toutes les lèvres en Creuse, dans le milieu culturel, mais bien au-delà, le reportage d'Alexandre Majirus étant largement commenté et critiqué sur Internet (1).Deux des interviewés sont « écoeurés »
« Un ami a reçu un message sur Facebook disant "Je suis journaliste, je cherche des hipsters (2), des férus d'électros, des gens qui téléchargent, pour faire un article dans Technikart. Je me suis dit, c'est bien, un sujet sur l'accès à la culture en milieu rural ». Thibault est interviewé, avec trois amis, le samedi du week-end de Pâques « car l'auteur venait voir ses grands-parents en Creuse ». La discussion tourne « autour des comportements culturels, le téléchargement, les soirées DVD…
et aussi des bars guérétois, des bistrobeats, des soirées organisées par le Gang ». À la lecture de l'article, et face aux critiques reçues sur les propos reproduits, Thibault se dit « écoeuré ». « Ce n'est pas simplement que mes propos sont sortis de leur contexte ou tronqués : l'image donnée est le contraire de ce que je pense ! Je suis là depuis cinq ans, en provenance d'une plus grande ville, et je suis bien ici. Oui, ce n'est pas Paris mais plein de choses existent. Cet article est à côté de la réalité et bâti sur des raccourcis injurieux. »
Avalanche de messages sur les réseaux
Même sentiment d'avoir été « trahi », pour Martial, autre témoin de l'article. « Le journaliste m'a dit vouloir parler des coins cool en Creuse, et de la vie de hipster ici. Je m'attendais à quelque chose d'un peu décalé, certainement, un "humour anglais", mais pas à un texte orienté de façon si méprisante. Mes propos donnent l'image de celui qui a quitté la Creuse et la renie, mais c'est faux ! Je veux bien passer pour un snob – mes copains me le reprochent souvent (rires) – mais là ! Je suis en train de préparer un documentaire sur la Creuse, et pas pour dire qu'il ne s'y passe rien ! »
Des dizaines de messages sur la page Facebook de Technikart, une discussion à plus de 200 personnes sur le réseau social et des chaînes de liens par centaines d'envoi : l'article suscite tout un panel de réactions, de l'exaspération aux propos haineux. Et au-delà de la Creuse.
« J'ai d'abord cru à un canular », raconte Filip Forgeau, directeur de la scène conventionné La Fabrique, avant de s'emporter. « Comment peut-on écrire un truc comme ça, du niveau de Rivarol ? » Un artiste, le conteur Fred Pougeard, l'a appelé, « scandalisé, en proposant un happening festif et culturel à Paris, dans la rédaction du magazine. Nous verrons, en nous coordonnant avec nos représentants politiques, s'ils décident d'une réponse officielle ». D'ici là, il a adressé une copie de l'article « à tous les artistes, et leurs équipes, reçus à Guéret depuis six ans, pour qu'ils nous donnent un témoignage s'ils le souhaitent. On ne peut pas laisser passer ça : s'abriter derrière les propos de personnages locaux, sortis de leur contexte, pour déverser sa bile ».
Le magazine Technikart persiste et signe
Technikart se défend de tout acharnement. Pour son rédacteur en chef, Raphaël Turcat, « la vie des jeunes branchés de province nous intéresse tout autant que la Monumenta de Buren au Grand Palais ou le quotidien des fêtards berlinois. […] L'angle, c'est : comment vivre sa branchitude dans une ville comme Guéret, pas réputée pour être un phare de la décentralisation ? On a choisi Guéret, mais ça aurait pu être un autre endroit comme il y en a tant en en France ».

Et les termes « vie sociale consanguine », « ambiance bourbier », « bouseux » utilisés dans l'article ? « Technikart a toujours eu une liberté de ton, ce qui fait notre succès mais énerve aussi pas mal de gens. Alors oui, je comprends que certaines personnes aient pu être choquées. De là à s'énerver comme ça… […] Et aucun propos n'a été déformé, on a tout sur bandes. »
Peut-on s'attendre à un mea culpa dans le prochain numéro ? « Nous continuerons à écrire comme nous aimons. Oui on énerve, et alors ? Si on devait changer de ligne éditoriale chaque fois que quelqu'un débarque furieux à la rédaction, on changerait de ligne tous les deux jours. […] Et ça ne m'empêchera pas de venir passer un moment dans cette superbe région où, visiblement, la fierté de certains de ses habitants est inversement proportionnelle à leur manque d'humour et de recul. » Pas sûr que cela close la polémique…
Contacté, l'auteur de l'article de Technikart n'a pas souhaité répondre.
Julien Bigay




PETITE HISTOIRE DES TUILERIES DE LA CREUSE

Quelques siècles après qu'ils eurent envahi la Gaule, les romains y importent la route, le vin, la chrétienté (après avoir rasé les temples gaulois) et, pour ce qui nous intéresse ici, la tuile et la brique. Mais, dans les villes, la brique ne sera vraiment utilisée qu'après le moyen-âge. Les campagnes, quant à elles, garderont même leurs toits de chaume jusqu'aux années 1700.

En 1785, une ordonnance du parlement royal, appliquée à Jarnages, interdit aux creusois de continuer à utiliser de la paille pour leurs toitures. Cela provoque une brusque demande de tuiles, laquelle fait naître en Creuse des dizaines de tuileries familiales et artisanales. En 1860, ce sont quelques 70 sites qui permettent à autant de famille de paysans d'arrondir les revenus de leur ferme.
Dans ces tuileries, même les enfants participent à la fabrication. Ils portent les briques sur les aires de séchage, ils façonnent le nez des tuiles, nettoient les outils de découpe et soignent les finitions. Comme ils vont en classe, la fabrication des tuiles a lieu, de préférence, les jours sans école (vacances comprises).
Outre les membres de la famille, quelques ouvriers y travaillent aussi. En 1878, leurs salaires avoisinent les 3 francs par jour, nourris, logés et blanchis (dans la région d'Aubusson, le salaire n'est que de 2 francs/jour). Ils travaillent (et ne sont donc payés) que les jours où la tuilerie en a besoin...
Après le séchage, les tuiles et briques doivent être cuites dans le four, par fournée de 25 à 30 mille pièces. La cuisson dure une bonne semaine et consomme environ 30 stères de bois. Durant ce temps, il faut veiller, nuit et jour, que le four n'enflamme pas la trop proche charpente de la tuilerie.

Dans les années 1920, la concurrence devient rude. Pour y faire face, une partie de la centaine de tuileries creusoises se mécanisent, avec des moteurs diesel. Celles qui ne le font pas meurent, les unes après les autres. Les survivantes s'industrialisent (et s'électrifient) aux alentours de 1950.

Les jeunes creusois partant vivre en ville, les tuileries rurales manquent de main-d'oeuvre. Dans un dernier sursaut, elles tentent de se regrouper pour produire en commun... Mais l'inévitable se produit : au début des années 1970, aux alentours de Gouzon, la dernière tuilerie encore en activité s'arrête définitivement !

Désormais, c'est à l'ECOMUSEE de la TUILERIE de POULIGNY (commune de Chéniers) qu'incombe le devoir sacré de perpétuer la mémoire de l''histoire des tuileries de la Creuse ! Cette ancienne tuilerie a été minutieusement restaurée et des animations autour du feu, de l'argile, du monde rural ancien et des tuileries creusoises s'y déroulent régulièrement. Croyez-nous : une visite s'impose !


Les élections cantonales 2011 en Limousin

C'est en Corrèze que la situation politique est la plus serrée entre la droite et la gauche

Le premier tour est fixé au dimanche 20 mars et le second tour au dimanche 27 mars, c'est-à-dire hors des périodes de congés scolaires. 53 cantons sont renouvelables en Limousin.
21 conseillers généraux devront être élus ou réélus en Haute-Vienne, 19 en Corrèze, et 13 en Creuse. Actuellement les trois départements de la région ont une majorité et un président de gauche. L'écart le plus large entre gauche et droite se situe en Haute-Vienne et l'écart le plus serré revient à la Corrèze où le président socialiste François Hollande ne dispose que d'un siège d'avance.




128 participants malgré la pluie . Dimanche 24 octobre le CC Mainsat Expert organisait son premier cyclo-cross de l'année sur le site de La Naute et cette manifestation a été couronnée de succès malgré la pluie . En effet dès 14 heures, 51 jeunes ont pu faire admirer au public présent leur dextérité et leur courage sur un circuit spécifique mais rendu glissant par la pluie .
La victoire est revenue à P Bourdeix en moins de 9ans, T Fourneron en 9/10 ans, L Louis en 11/12 ans, F Millord en 13/14 ans et P Chamblet en 15/16 ans .

A 15 heures 77 adultes prenaient la relève sur un circuit plus long et plus technique et Mickaël Louis du club organisateur prenait le meilleur départ mais ne pouvait résister au retour de J M Caplan et du duo Aubussonnais S Gambard et F Jury . Ces trois coureurs restaient groupés jusqu’à l’avant dernier tour, moment choisi par Caplan pour hausser le rythme et aller glaner un nouveau succès .
En 2 ème catégorie ,Nicolas Adenis s’impose et JL Raynaud l’emporte en 3ème catégorie .





Une gare TGV à Guéret ? Peut-être après 2020



La Creuse sauvée par le TGV ? L'idée n'est pas si farfelue que ça si l'on suit le raisonnement de l'association Altro qui milite pour la réalisation d'une ligne LGV est-ouest à trois branches qui ferait du département un passage obligé d'un axe reliant Lisbonne à Kiev.


C'est le genre de projet qui ressemble à un rêve et qui est pourtant capable de fédérer des gens les pieds sur terre venus de tous horizons et de toutes sensibilités politiques.


Ce rêve ? Relier l'ouest et l'est de l'Europe par une ligne à grande vitesse qui passerait par la Creuse. Et qui permettrait de monter dans un train à Lisbonne et d'en descendre en gare de Kiev sans changement via Valladolid, Bordeaux, Limoges, Guéret, Clermont-Ferrand, Lyon, Turin, Milan, Zagreb et Budapest !

L'image n'est pas seulement belle, elle s'inscrit dans un environnement favorable, notamment depuis le Grenelle éponyme qui a clairement inscrit le développement du ferroviaire et des lignes à grande vitesse parmi ses priorités.

« La Creuse se trouve sur le fuseau d'ores et déjà retenu pour le futur barreau est-ouest entre Lyon et Nantes et Lyon et Bordeaux via Limoges, explique Olivier Bertrand, conseiller municipal de Saint-Silvain-Bellegarde et responsable forestier, il faut désormais que tous les acteurs économiques et politiques du département tirent ensemble l'autre barreau, le Paris-Lyon via Orléans et Clermont-Ferrand pour qu'il passe plus à l'ouest, le plus près possible de Montluçon »



La ministre de la Santé a confié, hier, au député creusois Jean Auclair, son souhait de rouvrir le dialogue avec les Creusois à propos du service de radiothérapie fermé depuis le 30 juin.


Alors qu'aujourd'hui, une délégation de 221 élus creusois se rend au ministère de la Santé pour y réclamer la réouverture du service de radiothérapie de l'hôpital de Guéret (voir notre édition d'hier), Roselyne Bachelot a, d'une certaine manière, devancé leur venue... sinon leur désir.
Recevant, hier matin, le député UMP de la Creuse Jean Auclair, elle devait lui annoncer qu'elle était désormais prête à envisager « toutes les alternatives » à propos du service fermé depuis le 30 juin.

L'annonce a de quoi surprendre puisque, depuis juillet, les élus creusois - réunis au sein de leur Association des maires et adjoints de la Creuse (AMAC) - ont entamé une fronde radicale contre l'État pour tenter d'obtenir, au moins, que l'on rouvre les négociations sur des options de remise en service de la radiothérapie. Or, leur lutte n'avait obtenu jusque-là que des fins de non-recevoir.

Michel Vergnier méfiant

Selon le député UMP Jean Auclair, qui a été reçu par Roselyne Bachelot hier matin : « Elle m'a répété qu'elle voulait être la ministre de la qualité des soins mais qu'elle voulait aussi rouvrir le dialogue ».
Elle lui a ainsi annoncé que l'Agence régionale de santé (ARS) du Limousin allait mener une évaluation de la prise en charge des patients creusois par le CHU et les cliniques de Limoges et Montluçon depuis la fermeture de l'unité de Guéret. Un audit qui pourrait déboucher, d'ici un mois, sur l'organisation d'une réunion de travail au ministère « avec toutes les parties intéressées » et où seraient étudiées toutes les « options », notamment, selon le député, celle d'un « groupement régional permettant d'épauler Guéret et de rouvrir le service ».

Michel Vergnier, l’autre député, PS, de la Creuse et président de l’AMAC, s'est montré plus méfiant : « Cela prouve que l’action des Creusois porte ses fruits ! Je me fous de l’aspect politique des choses, il faut que les négociations rouvrent et si Jean Auclair l’a obtenu… En revanche, pour l’évaluation de la prise en charge, il faudra que nous soyons associés au protocole de mesure ainsi que sur la teneur du groupe de travail. Quant à la méthode, j’espère que les 221 élus qui se rendent au ministère (aujourd’hui) bénéficieront de la même attention à laquelle a eu droit Jean Auclair en étant reçu personnellement par la ministre » (*).









Proximité, convivialité, qualité sont les clés du succès de cette fête. Commerce en Fête 2010, c’est du 6 au 16 octobre sur tout le département de la Creuse.

Evènement commercial porté par la Chambre de Commerce et d’Industrie, avec le partenariat actif de la Fédération Départementale des unions de commerçants et d’artisans regroupant 8 associations : Aubusson, Bourganeuf, Evaux les Bains, Guéret (Boutiques Cœur de Guéret et Vingt Trois mille), Lavaveix les Mines, La Courtine et La Souterraine.

Sans oublier les partenaires de l’opération : France Bleu Creuse, le Conseil Général de la Creuse, la Banque Populaire, la Poste, l’association des Logis et les municipalités d’Aubusson, Bourganeuf, Evaux les Bains, Guéret, La Courtine , Lavaveix les Mines, La Souterraine, et Ste Feyre qui accompagnent également la CCI.

Conseil, service après-vente, livraison à domicile, accueil, proximité, écoute.

 Qui participe à Commerce en Fête ?
Les commerçants de tout le département

les associations de commerçants adhérant à la Fédération Départementale Soit 600 chefs d’entreprise.

Comment les reconnaître ? Durant 10 jours, tous les commerces participants seront aux couleurs rose et jaune de l’édition 2010 de Commerce en Fête (drapeau fanion et guirlande)

Pendant 10 jours, venez jouer avec vos commerçants de proximité.

 Jeu à gratter sans obligation d’achat. Plus de 15 000 cadeaux offerts : sacs réutilisables, crayons papier, tee-shirt, porte-clés, griffés « Commerce en Fête »

Possibilité de participer au grand tirage départemental, qui aura lieu le lundi 15 novembre à la Chambre de Commerce et d’industrie, en présence de Mr Delourme, Huissier à la Souterraine. Lors de ce tirage, de multiples lots à gagner, dont 8 bons voyage de 300 € chacun, des bons repas Logis de France, une centaine d’entrées gratuites 2011 dans les principaux sites touristiques Creusois, de nombreux bons d’achat et cadeaux offerts par les entreprises du département.

Jean Auclair, Député ....

Se revendiquant à la fois peu politiquement correct et raisonnable, Jean Auclair ne change pas de style ni de stratégie : sa cible préférée reste la majorité départementale, en particulier le PS.


Propos recueillis par Hervé Moisan
Vous avez marqué votre différence dans le dossier de la radiothérapie sans pour autant être suivi par une grande partie de vos amis politiques. Vous vous sentez isolé ?

Absolument pas ! Je ne suis pas isolé bien au contraire : sur les 260 maires, il y en a à peine une centaine qui suivent le mot d'ordre de boycott. Et je le répète : ce vote à main levée est une mascarade et l'assemblée générale une pantalonnade. Quant aux cartes postales, au-delà du fait qu'elles ont été signées par beaucoup de gens extérieurs au département, elles ne servent à rien, pas plus d'ailleurs que le train de la colère pour les monter à Paris. En réalité, si quelqu'un peut faire quelque chose pour la réouverture de la radiothérapie, c'est moi, et je ne me prends pas pour un surhomme !


Comment préparez-vous pour l'UMP les élections cantonales de l'an prochain ?

Quatre de nos sortants sont concernés : Gérard Gaudin, à Châtelus-Malvaleix, Valérie Simonet à Auzances, Joël Souchal à Chambon-sur-Voueize et moi-même à Ahun. On repart tous, à l'exception peut-être de Joël Souchal qui sera alors remplacé par Nicolas Simonnet. Pour tous comme pour les candidats que nous présenterons sur les autres cantons, ce sont les Creusois qui décideront : s'ils sont satisfaits de la majorité actuelle, une équipe divisée dont les membres sont presque tous issus du même milieu professionnel, qu'ils reconduisent les socialistes. Nous, on pense qu'il faudrait changer : nous aurons un projet avec une autre ambition que de faire des musées ou des conservatoires de musique. Notre premier chantier sera celui d'Internet et de la téléphonie mobile pour tous. Et nous pensons que tout part de l'économie, qu'il faut donc encourager les entrepreneurs. Et faire jouer en priorité une solidarité en faveur des Creusois. Est-ce qu'on avait vraiment besoin de faire venir 500 Mahorais en Creuse ? Je sais, ce n'est pas politiquement correct de dire cela, mais moi, je ne suis pas hypocrite.


Un des grands débats qui agite le milieu des élus creusois concerne le désengagement de l'État. Qu'en pensez-vous ?

Demandez au sénateur Lozach comment il aurait pu faire son conservatoire de musique sans l'aide de l'État ! Posez la même question à Michel Vergnier pour sa Bibliothèque multimédia ! Et je pourrais allonger la liste : la cité de la tapisserie à Aubusson ne pourra se faire sans une participation importante de l'État. Sans compter les 700.000 ? apportés par l'État à Dorsal !


Le monde agricole creusois, en particulier l'élevage, fourmille de projets. Qu'en pense le bon connaisseur de ce milieu que vous êtes ?

Je reste très prudent. Je pense qu'il faut soutenir le projet de centre d'engraissement à Saint-Martial-le-Vieux, d'autant qu'il bénéficie d'une aide de l'État au titre du plan de revitalisation de La Courtine. Cela dit, je fais de l'engraissement depuis 40 ans, et je sais par expérience que ce n'est pas toujours facile de gagner. Quant à l'engagement des Intermarchés de ne vendre que de la viande produite en Creuse, c'est bien mais cela concerne très peu d'animaux. Sur le projet d'abattoir halal à Guéret, je pense qu'il ne se fera jamais. Là aussi, le dossier a été mal géré : le Conseil général a refusé le seul projet sérieux. Plus largement, je pense qu'il faudrait plus d'engagement des collectivités auprès des éleveurs. Ce serait plus efficace que les aides accordées à la chambre d'Agriculture.


Le dossier des déchets, qui a empoisonné l'atmosphère au printemps dernier, va bientôt revenir sur le devant de la scène. Quelle est votre position sur cette affaire très délicate ?

Je pense qu'on a perdu beaucoup de temps et beaucoup d'argent pour rien, 240.000 ? d'études jetés à la poubelle ! Cela fait longtemps que je soutiens l'idée d'un travail en commun avec un département voisin pour incinérer les déchets. Si on nous avait écoutés, le problème serait en passe d'être réglé. Au lieu de cela, on n'a pas cessé de nous vilipender !


Les législatives de 2012 vont se dérouler sur une circonscription unique pour toute la Creuse. Vous avez déjà déclaré que vous serez candidat face à Michel Vergnier. Vous confirmez ?

Bien sûr, je serai candidat. Sur le papier, je ne pars pas favori, mais j'espère que les Creusois choisiront mon camp, celui de la raison, plutôt que celui des archéos-conservateurs. Et s'ils ont le coeur à gauche, qu'ils se souviennent qu'ils ont le portefeuille à droite !


Michel Vergnier souhaite la création d'une communauté d'agglomération autour de Guéret

Transformer la Com-Com de Guéret-Saint-Vaury en Communauté d'agglomération, tel est l'un des objectifs majeurs de Michel Vergnier dans les trois ans à venir. Pour faire de la nouvelle structure « une locomotive pour toute la Creuse ».


Comment analysez-vous le contexte politique creusois actuellement ?
La situation se tend et la principale raison se trouve dans le fait qu'il n'y aura plus qu'une seule circonscription en Creuse en 2012. Je n'y étais pas favorable et nous essaierons de revenir en arrière si l'occasion se présente. En attendant, la situation se tend aussi avec l'État en raison du dossier de la radiothérapie. Dans cette affaire, il y a au moins un aspect positif : la très grande majorité des maires de la Creuse est unanime : il faut continuer à se battre pour ne pas abandonner les malades. Et ce que je constate, c'est que Jean Auclair n'est pas suivi, je ne comprends d'ailleurs pas son attitude. Quant au préfet à qui nous avons demandé d'organiser une table ronde sur ce dossier, il ne peut plus se contenter d'expliquer la politique du Gouvernement : il faut qu'il fasse remonter ce que les Creusois pensent majoritairement dans cette affaire.

Le dossier de la radiothérapie pose plus largement la question des services publics en milieu rural. Sur ce point, vous évoquez la notion de « bouclier rural »?
Cela fait longtemps que je réfléchis au sein de l'association des maires de France à la ruralité. Je suis d'ailleurs intervenu à La Rochelle sur ce thème et des élus du Morvan, où est née cette notion, sont venus me voir. Nous allons travailler ensemble au sein du PS de manière à intégrer notre réflexion au programme de 2012. Qu'est-ce que le bouclier rural ? C'est un certain nombre de règles sur l'accessibilité aux services publics basées sur la notion de temps, à savoir combien de temps me faut-il pour me rendre à un hôpital, à une poste, etc? C'est aussi une définition de zones de développement économique en milieu rural. Ce « bouclier » va au-delà de la péréquation qui est cependant dedans. C'est surtout une vision offensive, pas seulement défensive, et moderne des services publics. Nous présenterons notre projet, et la proposition de loi qui va avec, à Guéret.

Comment, au-delà du seul milieu rural, voyez-vous le développement économique de la Creuse ?

Il faut une locomotive pour le département. Cela passe, selon moi, par la création d'un pôle fort qui serait la création d'une communauté d'agglomération autour de Guéret, laquelle comprendrait l'ensemble des communes du Pays de Guéret. Je sais qu'il y a des réticences, je vais prendre mon bâton de pèlerin et aller voir les uns et les autres. Je ne veux pas bousculer ni contraindre, mais convaincre qu'il faut qu'on y arrive. Cela nous donnera plus de poids, y compris au plan régional où cela rééquilibrera les choses. Nous avons trois ans pour y arriver.

Sur Guéret, certains projets sortent de terre, d'autres semblent encore dans les cartons?
Il y en a même qui sont finis comme la Bibliothèque multimédia intercommunale, la rénovation de l'ancienne salle po devenue l'espace André Lejeune. Il y en a d'autres quasiment achevés comme le Pôle domotique à Courtille où le centre de ressources va ouvrir en octobre. Ce sera un bel outil incubateur d'entreprises.

Parmi les chantiers qui vont commencer tout prochainement, il y a celui de la nouvelle caserne des pompiers dont la mise en service est toujours prévue au premier semestre 2012, et celui du centre de gériatrie de l'hôpital qui devrait entrer en fonction fin 2012. Et puis, il y a l'usine de méthanisation d'Abiodis : le calendrier prévoit toujours la pose de la première pierre début 2011. Le projet pourrait, on le sait, prendre une autre dimension avec l'implantation à proximité d'une presse à extrusion pour les déchets ménagers de la Creuse. Le maire de Guéret n'y est pas opposé, sachant toutefois qu'Abiodis peut faire avec mais aussi sans cette presse. En tout cas, une chose est sûre : la zone industrielle de Guéret n'accueillera pas un centre d'enfouissement de déchets. Et il ne faut pas oublier qu'avec Abiodis, sera créé un réseau de chaleur pour la ville.

Enfin, il nous restera, pour ce mandat, à réaliser une salle multi-activités et à engager la rénovation du stade avec la pose d'une pelouse synthétique sur le terrain d'entraînement.

Quant aux projets dans les cartons, oui, nous en avons, mais ce sera pour le prochain mandat et il est encore beaucoup trop tôt pour en parler !




La Souterraine : L'hôtel Alexia, fraichement inauguré fait figure de modèle du genre



Deux mois après son ouverture, l'Hôtel Alexia a été inauguré vendredi et loué dans sa capacité à combler une lacune et à montrer la voie à une Creuse manquant d'équi- pement de ce genre.


Ouvert depuis deux mois, l'hôtel Alexia (voir notre édition du 20 juillet 2010) zone de la Prade, à La Souterraine, affiche déjà un taux de remplissage de 86 %, alors que son référencement sur le site Internet de la Centrale nationale Interhôtel est tout juste réalisé? Signe que son implantation sostranienne était pertinente.


L'inauguration de l'établissement, vendredi, a rappelé que la carence en offre d'hébergement hôtelier sur cette partie du territoire fut en effet l'une des raisons qui a présidé au projet porté par Pascal Baudoin, et soutenu par les élus et les consulaires.




La fronde d'irréductibles Creusois contre l'Etat

GUERET - La fermeture du service de radiothérapie, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. En Creuse, face aux restructurations et au déclin annoncé des services publics, les élus, toutes tendances confondues, ont lancé une fronde contre l'Etat pour dénoncer un "acharnement" et un "mépris" des zones rurales.

"Le mot Creuse est toujours synonyme de punition ou de sanction" quand il s'agit de mutation professionnelle et "on réduit encore le maillage des services publics, pourquoi un tel acharnement?", s'interroge le député-maire PS de Guéret, Michel Vergnier.

Dans ce département agricole, qui compte plus de vaches que d'êtres humains, le service de radiothérapie de Guéret a fermé fin juin, le ministère de la Santé invoquant les normes de sécurité et une fréquentation insuffisante.

Auparavant, c'est un établissement de matériel militaire qui a été transféré à Moulins (Allier), avec une perte de 130 emplois. La fermeture de la maison d'arrêt de Guéret, pourtant rénovée récemment, a été annoncée pour 2015 sans qu'on sache où elle sera reconstruite. Il y a aussi des incertitudes sur la cour d'assises, la maternité, le tout dans un contexte de détresse de la filière dominante, les éleveurs de vaches à viande, déjà privés d'abattoirs.

"On ferme des tribunaux, on recentre sur la région les services de proximité comme les finances, le cadastre, La Poste, tout cela ajouté finit par peser sur le territoire de façon inacceptable", dénonce la sénatrice PS Renée Nicoux, craignant que les Creusois ne deviennent "des laissés-pour-compte".

"La campagne ne donnera jamais les mêmes services que la ville", admet Jean-Pierre Viollet, président de la chambre d'agriculture, "mais il ne faut pas +kärchériser+ les campagnes de tout service public", sous peine d'accélérer la désertification de la Creuse.

Exaspérés, les quelque 260 maires creusois, dont un tiers à droite, ont voté à la quasi-unanimité le gel des relations avec les services de l'Etat pour obtenir la réouverture de la radiothérapie à Guéret. Le représentant de l'Etat n'est plus invité aux manifestations locales. "Une action hors-norme" pour se faire entendre de l'Etat qui montre ici "un mépris des zones rurales", déclare à l'AFP Mme Nicoux.

En outre, deux recours en justice ont été déposés et 45.000 cartes postales seront envoyées au ministère de la Santé. "Cet acte de résistance se poursuivra de manière forte tant que l'Etat n'aura pas fait un signe", déclare M. Vergnier.

"La vie de la Creuse ne s'arrête pas à la radiothérapie", s'insurge le député UMP Jean Auclair, maire de Cressat, un des seuls élus à s'opposer résolument au boycott qui va, selon lui, "un peu plus stigmatiser le département". "On ose faire le boycott quand la médiathèque de Guéret a été financée à 60% par des fonds d'Etat", remarque-t-il. Il est favorable pour sa part à un partenariat privé/public pour sauver la radiothérapie de Guéret.

"Ce boycott est un non-sens, il va à l'encontre de l'intérêt général", abonde le préfet Hugues Moutouh. "Dans un département qui a autant besoin de l'Etat, c'est se tirer une balle dans le pied", dit-il à l'AFP.

Avec 124.000 habitants pour 440.000 bovins, une population vieillissante, 4 à 5.000 éleveurs touchant moins de 10.000 euros annuels, la Creuse reçoit, "du fait de ses handicaps", près de 700 millions d'euros par an de l'Etat, selon le préfet.

A deux heures et demie de Paris en train, la Creuse n'est "plus enclavée", aiment à dire le préfet et les élus de tous bords. "On a des dossiers d'entreprises prêtes à s'installer", se réjouit le maire de Guéret, "mais, pour faire venir les gens, il faut maintenir un maillage de services publics".

(©AFP / 25 septembre 2010 12h37)


Intermarché joue le patriotisme creusois et n'achetera que de la viande bovine de Creuse
 
Bravo pour Serge Estival d'Intermarché Auzances.

L'idée semble si commune, et pourtant elle est neuve et serait même unique en France : les 8 Intermarché de la Creuse ont décidé de n'acquérir que de la viande bovine d'ici.

Des patrons creusois d'Intermarché et ceux des Jeunes agriculteurs (JA), l'attelage pouvait, hier après-midi, sembler improbable devant cette stabulation de Claverolles, sur la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois.

Et pourtant, les vaches du Gaec du Pré-du-Moulin servaient de décor à un engagement entre le syndicat et les huit magasins du groupement creusois de l'enseigne représentés, entre autre, par Serge Estival, patron de l'Intermarché d'Auzances.
Entre les JA et les Mousquetaires, c'est un gentleman agreement unique en son genre qui a été signé : l'engagement des huit magasins a ne commercialiser, tant dans leur boucherie traditionnelle que dans les emballages sous-vides, uniquement de la viande bovine creusoise.

Et ce en la payant 0,30 euros\kg de plus que le cours du jour de la transaction (plafonné à 3,85 euros).

Ce sont ainsi près de 1.100 génisses ou mères de réforme d'élevages à viande que les magasins Intermarchés vont acquérir.

« C'est une première en France, se félicite Stéphane Moreau, président des JA de la Creuse. Jusqu'à maintenant, la traçabilité n'avait pas apporté grand-chose à l'éleveur. C'est bien beau de savoir que la vache est creusoise si les Creusois ne peuvent pas l'acheter. Cet accord permet aux consommateurs d'ici de consommer la vache d'ici ».

Un accord entre deux acteurs privés - des éleveurs et des commercialisateurs - qui doit tout à la puissance publique : « C'est parce que le préfet nous a permis de nous parler, évoque Serge Estival, autour d'une table ronde où il nous a poussés à mettre le nez sur la crise que vivaient les agriculteurs. Nous avons décidé d'agir. Et comme les prix du marché ne leur permettaient pas de vivre, nous avons décidé d'aller au-delà.

« Le tout, espère le commerçant, c'est que le consommateur s'en rende compte. Et que dans la foulée, les autres enseignes aussi afin qu'elle fasse comme nous et que nous nous retrouvions dans des donnes concurrentielles équitables ».

L'engagement pris l'a donc été que pour un an : « Nous avançons en terre inconnue, confie Serge Estival. Si dans un an on a perdu 30 % de chiffre d'affaires sur le rayon, bien sûr que nous ne pourrons continuer. En revanche, si ça a marché, si le public a adhéré à notre démarche locale... Alors on pourra envisager d'autres partenariats sur d'autres productions ».



Budelière dépollution des anciennes mines d’or du Châtelet gorgées d’arsenic


Activité intense dans les anciennes mines d’or du Châtelet, désaffectées depuis 1955 : l’État fait place nette pour protéger les riverains et les gorges de la Tardes.

Au pied de l’émouvante chapelle romane du Châtelet, les habitants du village observent le grignotage de la vieille cheminée de la mine d’or par une pince vorace. La journée d’hier marquait l’achèvement de la démolition des ruines d’un site qui fit travailler jusqu’à 450 mineurs et ouvriers à la fin des années 1920. Un patrimoine industriel, qui plus est singulier, est en passe d’être complètement effacé mais personne ne saurait s’en émouvoir. Surtout pas les riverains : « Les gens d’ici ont attendu longtemps. On est contents que le chantier ait enfin démarré », assure Viviane Vallauri, retraitée au Châtelet.

Cela est dit sans colère : « On ne peut pas dire que l’arsenic inquiétait vraiment. Il m’est arrivé de manger des poissons pêchés dans la Tardes. » L’arsenic est présent naturellement dans le sous-sol. Comme une épée de Damoclès au-dessus de la Tardes, ce sont près de 600.000 tonnes de minerai qui ont été accumulées en une cinquantaine d’années d’exploitation (pour un total de 11 tonnes d’or produites). Mais pourquoi démolir les vestiges ? « Les suies déposées pouvaient contenir jusqu’à 60 % d’arsenic », explique Patrick Jacquemin, chef de projet pour L’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie). La société d’exploitation des mines du Châtelet n’a plus d’ayants droit, c’est donc l’État qui fait face aux obligations de dépollution. Il finance intégralement les 4 millions d’euro de l’opération L’ADEME, maître d’ouvrage, a pour mission de rendre inoffensifs tous les « produits » (terre et matériaux) affichant une teneur d’arsenic supérieure à 5 %. Une dizaine d’employés des sociétés Guintoli et Muller TP travaillent sur le site avec des mesures de sécurité adéquates (combinaisons et masques).
Le site est très accidenté, mais la difficulté réside surtout dans le contrôle des poussières : « Nous ne pouvons pas arroser au moment de la démolition, car cela impliquerait le ruissellement d’eau contaminée vers la Tardes », souligne le chef de chantier. L’eau est donc pulvérisée pour limiter l’impact.

La qualité de l’air et celle de l’eau sont contrôlées en permanence. Hier, le sous-préfet d’Aubusson, Jean-Paul Mosnier a obtenu toutes les garanties sur la maîtrise de ces paramètres. Les sols et matériaux pollués à plus de 30 % son actuellement déposés dans une nasse de confinement : une alvéole étanche étalée sur deux hectares. Le géotextile qui couvrira ces tonnes de produits, sera lui-même recouvert de terre et bénéficiera d’une revégétalisation . L’arsenic, en somme, retourne à la terre. On doit en perdre la trace. Ultime précaution : une digue est érigée afin d’éviter que les crues,y compris centenales, de la Tardes n’entraînent ces terres souillées vers le barrage de Rochebut et Montluçon.
 



L'appel à la grève est lancé jeudi 23 septembre

« Ce n'est pas parce que la loi a été votée à l'Assemblée nationale que c'est plié. Il reste le Sénat. le combat n'est pas terminé », lance Catherine Baly, secrétaire départementale de la CGT.

Son collègue de la FSU, Gilles Sageloly, précise que cette nouvelle mobilisation nationale ne vise pas à « empêcher la nécessaire réforme des retraites », mais à ce que « la loi soit revue et corrigée avec la participation des syndicats ».

Le succès des manifestations du 7 septembre (environ cinq mille manifestants à Guéret), donne des ailes à l'intersyndicale (CGT, UNSA, CFDT, FO, FSU, Solidaires) pour la journée du 23.


D'un point de vue pratique, des rassemblements et un covoiturage pour Guéret seront organisés dans plusieurs villes du département.


Les syndicats voudraient aussi mobiliser les jeunes « Il y a la réforme des retraites, mais c'est indissociable de la question de l'emploi et des salaires », élargit Catherine Baly.


La manifestation du 23 septembre s'accompagne d'un préavis de grève dans l'Éducation nationale et dans la fonction publique (d'État et Territoriale) qui court jusqu'au 29 septembre. Des perturbations seront donc possibles jusqu'à la fin de la semaine dans les écoles et les administrations.



vidéo Gérard Charbonnel

Blog de Michel moine

Ce samedi matin, l'association des maires et adjoints de la Creuse tenait une assemblée générale exceptionnelle, pour faire le point sur les initiatives prises pour exiger la réouverture du service de radiothérapie de la Creuse.

Le Président Vergnier a rendu compte des témoignages reçus au numéro vert, sur les disfonctionnements graves de la prise en charge des patients creusois. Il a ainsi évoqué les pannes de l'appareil de Montluçon, qui ont eu pour conséquence des annulations de séances de dernière minute. Parfois même, alors que le patient était en route pour sa séance. Un malade a eu ainsi 28 rendez-vous, pour seulement 20 séances.

Pour Limoges, les disfonctionnements sont d'avantage d'ordre humain. Ainsi, un patient creusois, ayant subi sa séance de rayons à 10h00, a-t-il dû attendre 16h30 pour rencontrer le médecin. Tout cela dans l'inconfort d'une salle d'attente, avec un plateau-repas sur un coin de bureau...

En écoutant Michel Vergnier énumérer ainsi les exemples, souligner l'arrêt de la radiothérapie palliative malgré les soulagements qu'elle apportait dans les derniers instants, je voyais l'émotion gagner mes collègues, à la fois horreur et indignation.

Pourquoi avoir fermé un service performant, avec une machine neuve, alors que manifestement les autres services de Montluçon et Limoges n'étaient pas en mesure d'accueillir convenablement les malades creusois ? Pourquoi une telle impréparation ?

La permanence de Jean Auclair murée

Parpaings et colle à prise rapide, telles étaient les armes "syndicales" brandies lundi par un petit cortège multibannières devant la permanence aubussonnaise du député UMP Jean Auclair.
Arrivée tout klaxon hurlant dans le centre-ville de la cité tapissière, une soixantaine de militants (CGT, FO, CFDT, Snes-FSU, Sud...) ont pris place devant le local politique, sans tambour ni trompettes mais avec une colère "maçonnée".

L'objectif symbolique de leur action était en effet de murer la permanence de l'élu creusois.

« Ce mur que l'on monte aujourd'hui est celui qui le coupe, lui, du peuple », affirme Catherine Baly, secrétaire départementale de la CGT.


La colère des Maires de la Creuse

À l'unanimité ! C'est ainsi que les maires creusois ont voté, ce samedi matin, leur nouveau plan d'actions - qui fait suite à celui du 12 juillet - pour mettre la pression sur l'État afin d'obtenir la réouverture de la radiothérapie.

Où en étaient-ils, les maires Creusois ? Étaient-ils divisés par ce boycott envers l'État déstabilisant pour eux ? Usés par un été qui leur aurait fait oublier les serments du 12 juillet ? Prêts à tourner la page et tirer un trait sur cette radiothérapie que l'État ne veut pas rouvrir ?
Pourtant non. Ce samedi à Guéret c'est en masse qu'ils ont répondu à l'appel de leur association (l'AMAC) pour son assemblée générale extraordinaire. Et à l'unanimité qu'ils ont voté le nouveau plan d'actions pour exiger de l'État qu'il la rouvre.

S'ils avaient besoin de clarifier des points - notamment le rapport à l'État - les élus n'ont pas baissé les bras. Loin s'en faut. Car l'été leur a démontré que leur mouvement se médiatisait, à travers tous les coins du pays où ils ont pu prendre leurs vacances.

Surtout, dans leurs communes où ils ont distribué à leurs concitoyens les cartes de soutien (une des actions décidées le 12 juillet), ils ont constaté que les Creusois les soutenaient. Les poussaient à aller jusqu'au bout.
D'ailleurs, 40.000 d'entre eux ont déjà renvoyé cette carte signée à l'AMAC. Enfin, ils ont pu croiser les malades expédiés à Limoges ou à Montluçon pour bénéficier d'une radiothérapie.
Et ces maires-là partageaient avec Michel Vergnier, président de l'AMAC, ce cri du coeur : « Je ne me doutais pas à quel point obliger ces gens affaiblis à faire quotidiennement 3 heures de route pouvait ajouter du mal au mal ».
Et de dénoncer ces soins palliatifs rendus quasi-impossibles, ces retards dans les traitements, ces annulations de séances? que subissent les patients creusois.

La souffrance des malades, la voix des Creusois, le rôle des élus et les actions à mener. Telle a été la hiérarchie des préoccupations des maires et adjoints de la Creuse réunis hier et à qui furent soumis deux choix.
D'un côté, Jean Auclair qui leur proposa de cesser la pression sur l'État et le boycott qui allait avec. De l'autre, Michel Vergnier - et avec lui tout le bureau de l'AMAC composé d'UMP, de PS ou de PCF - qui, au contraire, les invita à redoubler la pression quitte à aménager le « gel des rapports avec l'État ».
« Nous sommes dans un rapport de force, rappela Claude Guerrier (PCF). Et la force est avec nous, c'est celle de tous les Creusois qui nous suivent ».

Au final, ce sont les seconds qui l'ont emporté votant à l'unanimité toutes les actions. En l'absence d'un Jean Auclair qui avait quitté la séance. Évitant ainsi l'image d'avoir à être le seul à lever le bras à l'appel du « qui vote contre ? »

La Montagne

Reportage sur le film " Vive bouchon", qui devrait être rebaptisé et projeté sur le petit écran (FR3) prochainement.



Découvrez Yvan Le Bolloc'h et Francis Perrin tournent "Vive Bouchon !" dans la Creuse sur Culturebox !

Ce qu'est chasser en Creuse en l'an 2010

Après deux décennies compliquées par des conflits d'usages et de dates, des débats houleux avec l'écologisme, de décrue des pratiquants? Chasser en 2010 semble se conjuguer à des temps apaisés.


Aujourd'hui est jour d'ouverture générale en Creuse. Jusqu'au 11 novembre, les dimanches et jours féries vont mettre en ligne de mire perdrix, lièvre, lapin, faisan, sanglier et chevreuil (jusqu'aux 28 et 20 février) et, à partir du 23 octobre, le cerf.

Lors de l'AG de la Fédération, en avril dernier, le président Jean-François Ruinaud a prévenu : « Le chasseur n'échappera pas à la règle à la mode, du politiquement correct, courtois avec une apparence d'expert, de connaisseur puisque de "scientifique". C'est le prix à payer pour que notre art de vivre ne paraisse pas rétrograde et voué à une érosion naturelle ». Apaisée, donc, cette ouverture 2010 en Creuse. C'est du moins ce qui ressort du tour d'horizon tracé par le président Ruinaud.


1. Chasseurs « On se maintient à 8.200 chasseurs. C'est signe qu'on résiste à l'érosion sachant que la Creuse n'a pas subi un boum démographique ». Chaque année, 150 jeunes chasseurs passent leur permis.


2. Gros gibiers. Le tableau de chasse creusois est passé de 2.210 têtes en 1999-2000 à 9.552 en 2006-2007. Depuis deux ans, la courbe s'est inversée pour atteindre les 8.560 bracelets attribués pour cette saison. Côté sanglier, la pression avec le monde agricole (dégâts sur les cultures) a entraîné une hausse des prises avec, au début de la décennie, 1.229 bêtes de + 50 kg abattues sur la saison pour atteindre les 2.012 en 2007-2008. 2010-2011 ne prévoyant que 1.325 bracelets. Enfin, pour les cerfs, la Creuse conserve ses noyaux durs de La Courtine et Bourganeuf et un plan de chasse croissant depuis dix ans (2000-2001 : 9 abattus\2010-2011 : 167 attribués).


3. Petits gibiers. L'introduction de nouvelles techniques (volières à l'anglaise sans toit mais protégeant des prédateurs terrestres, notamment) et d'une meilleure régulation semble faire repartir à la hausse le bestiaire ailé (faisan, perdrix, perdreau?) et galopant (lièvre, lapin?)


4. Relations avec le monde agricole. Ca va mieux « parce que la chasse a été à l'écoute de l'agriculture et a qu'on a réussi à dialoguer sur les dégâts aux cultures et sur les moyens de les limiter. Les plans de chasse ont été adaptés aux zones de dégâts. Le nourrissage a été interdit, seule l'agrainage est autorisé et sous des contraintes bien encadrées ».


5. Relations avec les chasses privées. Rappelons que la Creuse est sous le régime ACCA : toute zone est chassable sauf celle retirée par leur propriétaire pour objection de conscience ou érigée en territoire de chasse privée. Aujourd'hui, on voit même des "privés" louer leur territoire à des? ACCA ».

Pas de souci aujourd'hui peut-être. Mais demain ? Ce sera alors le problème de la chasse de 2020.

La Montagne


Insolite NON !



Le safran à Fontanières



Le récit de trois Creusois témoins des mortelles inondations en Inde

Ils avaient prévu de passer leurs vacances en Inde. Ce qu'ils n'avaient pas prévu, c'est qu'ils allaient assister aux terribles coulées de boue qui ont dévasté une partie de la ville de Leh, capitale de la province du Ladakh.

Clémence de Blasi gueret@centrefrance.com
Refusant de céder au catastrophisme ambiant, Rémi Banet, Guillaume Tran-Tu et Pierre Leger racontent leur voyage simplement, en essayant d'être les plus objectifs possible. Ces trois Creusois, partis fin juillet voir l'Himalaya, ont assisté à la très forte tempête qui a inondé le Pakistan et défiguré la ville de Leh et ses alentours.


Après cinq jours de voyage en bus décrits unanimement comme « des plus éprouvants », et des étapes dans les villes de Manali et Keylong, les trois garçons parviennent dans la ville de Leh, située dans l'état du Jammu et Cachemire, aux confins de l'Himalaya. Cette ville concentre de nombreux touristes attirés par les paysages du nord de l'Inde et le trekking. À Leh, Rémi, Pierre et Guillaume restent douze jours, du 30 juillet au 11 août. Ils visitent la ville depuis près d'une semaine quand survient la tempête survient.


Dans les chambres de leur guest house, un hôtel du vieux Leh perché sur une petite butte de terre, l'eau qui ruisselle le long des murs les surprend dans leur sommeil, vers 1 heure du matin. L'agitation palpable et les cris des voisins contribuent à les réveiller tout à fait. Dans l'hôtel miraculeusement épargné, des voisins viennent se réfugier et prier. « Une femme récitait compulsivement des prières dans le Coran, se rappelle Pierre, on se demandait ce qu'il était en train de se passer ». Dans les rues de la ville en alerte, les habitants tentent en vain de creuser des rigoles pour que l'eau s'échappe de la ville, située dans une sorte de cuvette, et dépourvue d'égouts. Dans la partie sud de la ville, il est déjà trop tard, car les maisons sont envahies par la boue et les pierres, et celles faites de terre sont totalement sinistrées.




Pousser la porte des savoir-faire d'ici

Le tourisme se tourne vers l'économie et pousse les portes des entreprises, pour faire découvrir les savoir-faire du territoire, jusqu'au 30 septembre.

Découvrir l'envers du décor, pousser les portes des entreprises du Limousin et plonger au coeur de leur savoir-faire, c'est une possibilité désormais ouverte à tous les esprits curieux. Qu'il s'agisse de savoir comment se fabriquent les accordéons Maugein (à Tulle), de se glisser dans les ateliers de lisse de la Manufacture Saint-Jean (à Aubusson), ou encore de connaître les secrets du jambon Madrange (à Feytiat), la visite d'entreprises se poursuit jusqu'au 30 septembre, dans quelque 133 adresses de la région dont une douzaine en Creuse. Initiée il y a une quinzaine d'années par la CCI notamment, cette démarche a l'objectif de faire mieux connaître le maillage économique du territoire, mais aussi de tisser des liens, dans le sens de son développement.

« Les habitants de la région ne connaissent pas ou très peu les entreprises implantées près de chez eux, c'est une découverte pour tout le monde, touristes et résidents », souligne Daniel Conchon, vice-président des services de la CCI de la Creuse. Cette offre se veut avant tout « touristique, mais se révèle également être un outil de communication, de valorisation de l'image et de développement pour les entreprises, mais également pour le département », précise-t-il.

En Creuse, elles sont ainsi 12 entreprises, petites ou plus importantes, et de domaines variés, à ouvrir leurs portes. « L'occasion pour eux de découvrir le savoir-faire creusois, explique Roger Bléron, président du Comité Départemental du Tourisme de la Creuse. Cela nous permet de diversifier l'offre touristique, sur des aspects peut-être plus économiques et culturels, que simplement environnementaux ou patrimoniaux ». Depuis hier, sont à découvrir :

La Manufacture Saint-Jean. La plus ancienne manufacture de tapisseries d'Aubusson ouvre ses ateliers de fabrication et de restauration. Adultes : 10 ?, enfants : 5 ?, groupes : 8 ?. Réservations : 05.55.66.32.12.

Mattress France. L'entreprise, implantée à Bourganeuf, fabrique matelas et sommiers du Label Belle Literie. Réservations : 05.55.64.12.20.

Entreprise Chaput. Depuis 5 générations, cette entreprise s'est spécialisée dans la construction bois. Du bois brut au chalet fini, la visite fera un tour complet de ce savoir-faire. Unique visite vendredi 23 juillet. Réservations : 05.55.63.10.06.

Evaux Laboratoires. Trois visites de découverte entre préparation des produits dermo-cosmétiques à base d'eau thermale d'Évaux-les-Bains et essais, les : mercredis 7 juillet, 4 août et 1er septembre. Réservations : 05.55.65.50.90.

Ambiance bois. Dans le Parc régional de Millevaches, à Faux-la-Montagne, les produits bois destinés à l'aménagement intérieur et extérieur sont rois. Cinq visites : lundi 5, mardi 13 et jeudi 22 juillet, lundi 2 août, jeudi 2 septembre. Réservations : 05.55.69.76.70.

SARL Filature Terrade. De la transformation de la laine brute à la fabrication des fils, la filature de Felletin ouvre ses portes. Adultes : 4,50 ?, enfants : 2 ?, gratuit pour les enfants de moins de 10 ans. Réservations : 05.55.66.54.60.

Marynap. Située dans la zone industrielle de Guéret, Marynap est une petite entreprise de 4 salariés spécialisée dans la manufacture de produits à base d'éponge, linge de table, costumes de scène ou vêtements professionnels. Réservations : 05.55.52.14.29.

Sauthon Industries. Leader européen de mobilier pour bébés, Sauthon Industries, implanté à Guéret propose deux visites de ses ateliers, mercredi 7 juillet et mercredi 8 septembre. Réservations : 05.55.52.14.29.

SAS Atulam. L'entreprise de Jarnages ouvre ses ateliers de fabrication de fenêtres et portes en bois. Visite les lundis 26 juillet et 13 septembre. Réservations : 05.55.62.26.92.

Colas Sud-Ouest. Filiale du groupe Colas, le leader mondial de la construction et de l'entretien des routes de La Brionne se visite les vendredis 23 juillet, 20 août et 10 septembre. Réservations : 05.55.52.14.29.

Filature de Rougnat. Filature familiale depuis 1850, l'entreprise implantée à Rougnat, accueille les visiteurs les mercredis 7 et 28 juillet, 8 et 22 août. Réservations : 05.55.67.17.13.

Emix S.A. Plus insolite, l'entreprise de Saint-Maurice-La-Souterraine propose de découvrir en ses murs, la fabrication de lingots de silicium pour panneaux solaires photovoltaïques. Visite samedi 10 juillet. Réservations : 05.55.63.10.06. n

  Renseignements. Du 1er juillet au 30 septembre, toute la liste des entreprises à visiter est à retrouver sur le site : www.visites-entreprises-limousin.com ou dans les offices de tourismes. La réservation est indispensable auprès des OT concernées.



Casting pour film dans le Limousin





À la redécouverte des châteaux creusois

Jusqu’au 3 septembre2010, les Archives départementales présentent leur grande exposition été, consacrée aux châteaux creusois.

Cette exposition est née d’une envie de remettre en lumière le patrimoine castral de notre département. Une exposition consacrée aux châteaux avait déjà été réalisée par le service éducatif des Archives départementales de la Creuse en 2001. Mais, il s’agit ici d’étudier de façon plus précise les caractéristiques architecturales de certains châteaux, en insistant de manière pédagogique à la fois sur la chronologie de l’élévation de ces monuments et sur le vocabulaire.

L’exposition propose ainsi de découvrir le château-fort. Résidence du seigneur, le château implanté soit sur un site naturellement fort, soit sur une motte plus ou moins artificielle, est le cœur du territoire, (la châtellenie) sur lequel s’exerce au Moyen-Âge les pouvoirs seigneuriaux. L’expression château-fort est un pléonasme au Moyen-Âge car tout château était fort. Cette expression imprécise permet seulement de distinguer l’habitat nobiliaire fortifié du Moyen-Âge des plaisantes demeures d’Ancien Régime.


Nord Creuse : Une maison de santé... et de discorde

Les professionnels de santé souhaitent s'installer à Genouillac. Les décideurs préfèrent Bonnat... Il flotte un vent de polémique sur le projet de Maison de santé pluridisciplinaire au nord de la Creuse.
Le 21 juin dernier, le comité de pilotage du Pays de Guéret a voté à l'unanimité le projet de soins pour la zone Nord, mais le lieu d'implantation reste encore sujet de tensions.

Et pour cause, les praticiens des deux cantons souhaitent son implantation au Poteau de Genouillac, quand les décideurs lui préféreraient le centre bourg de Bonnat.

Les professionnels sont fermes : si ce projet se fait à Bonnat, ce sera sans eux. Et sans eux, le projet ne pourra voir le jour.

L'étude menée sur 25 critères par le cabinet DTalents et financée par le Pays de Guéret, oriente une implantation au Poteau, mais reste délibérément ignorée par ceux-là même qui l'ont engagée.


Du côté du Pays, l'erreur n'est pas là : « Elle a sûrement été de ne pas faire une maison à Bonnat ou à Genouillac, avec un pôle de santé ailleurs, au lieu de tout concentrer à un seul endroit », confie Marc Coubret, président du Pays de Guéret.

Deux projets de maison de santé au nord du territoire étaient inscrits au contrat de Pays. L'un sur la Com-com de la Petite Creuse et l'autre sur celle des Deux vallées.

Après une étude comparative en 2009 sur les deux sites proposés, le Poteau (candidat dès 2007) et Bonnat (qui a rejoint le projet fin 2009), aucun lieu n'a été retenu officiellement par les trois Com-com concernées (*). Et la pomme de la discorde d'être lancée...

« Nous avions réuni les trois présidents des trois communautés de communes du nord, précise Marc Coubret, afin de décider d'un lieu d'implantation... Et finalement, ils ont décidé de ne rien décider ».


Une abstention qui a précipité un vote du comité de pilotage, le 21 juin, réuni pour entendre le diagnostic de présentation et d'évaluation des 2 sites et prendre une décision relative au lieu d'implantation. « Il y a eu un vote à bulletin secret, un vote démocratique, souligne le président du Pays, qui a voté à l'unanimité un projet de soins ».


L’exemple de la Creuse pour défendre les hôpitauxPublié le 28 juillet 2010 par Patrick Le Hyaric

Les maires du département de la Creuse viennent de produire un acte de résistance salutaire. Ils ont décidé de rompre leurs relations avec L’Etat tant que le ministère de la santé ne sera pas revenu sur sa décision de fermer le service de radiothérapie de l’hôpital de Guéret. Cette inadmissible décision s’incrit dans le plan gouvernemental de suppression de plusieurs centaines de services de santé publique, survenant après la fermeture de centaines de maternités et de services d’urgence.

Ces décisions antisociales sont prises sans la moindre concertation avec les élus locaux et les personnels de santé. Elles n’ont strictement rien à voir avec les besoins humains de santé, mais tout avec les critères de l’argent-roi. Selon des normes uniquement comptables, ce pouvoir de droite décide autoritairement de fermer des hôpitaux de proximité sans tenir compte ni de la géographie, ni des besoins d’équilibre des territoires, ni des temps réels d’accès des populations aux services de santé. Ajoutons que, même en prenant en compte le critère de l’économie, il n’est pas prouvé que la concentration hospitalière en cours soit efficace. Elle ne l’est pas non plus du point de vue de la qualité sanitaire. Ce qui est sûr c’est que dans nos campagnes, qui ont souvent une population vieillissante, les risques d’aggravation de l’état de santé de nombreux habitants, voire de mortalité s’accentuent. La concentration éloigne les patients des centres médicaux. Cela les conduit à consulter moins. L’inégalité devant la santé s’aggrave donc. La fermeture de services hospitaliers accompagne ou accélère les difficultés de la médecine générale parce qu’il y a de plus en plus de difficultés à trouver des médecins pour s’installer dans de telles conditions. Au bout du compte, les déserts médicaux risquent de s’amplifier avec les conséquences humaines que cela engendrera inévitablement. Composante essentielle de l’accès de toutes et tous aux soins, les petits hôpitaux de proximité permettent en effet de dispenser les premiers soins, les premiers secours qui souvent sauvent des vies. Ceux-ci travaillent déjà en réseau avec des structures plus importantes dans les plus grandes villes. C’est cette voie qui devrait être privilégiée au lieu de la casse du service public en cours.


Tournage d'un film
tournage chambon sur voueize


Depuis le 10 juillet, le cinéaste amateur Jacques Baudoin, 68 ans, a posé caméras et projecteurs dans la Creuse, terre d'accueil de son nouveau long-métrage, Homogène.
Parmi les onze acteurs du film, cinq habitent le département. Tous bénévoles et novices pour la plupart, ils ont été castés l'an dernier, à Chambon-sur-Voueize.
Au sein du bourg mais aussi du lieu-dit « La Vergnolle », dans le gîte tenu par Évelyne et Gérard Lesombre, qui ont en outre revêtu leurs habits d'acteurs pour interpréter les grands-parents du personnage principal.

Car ce film est avant tout une histoire de famille.

« Une famille où grandissent deux enfants sans histoire et qui porte des valeurs de plus en plus rares. Entre écoute, respect et politesse », raconte le Montluçonnais Jacques Baudoin.

Tout bascule le jour où Gilles, l'aîné de 16 ans, lit un message anonyme qui lui est adressé via Internet : « Sais-tu vraiment qui tu es ? ».

Ce n'est que plus tard que l'ado commence à s'inquiéter. Le jour où il reçoit une lettre : « Ta mère n'est pas ta mère ». Devant tant de mystères, il décide de retrouver son interlocuteur... La vérité éclatera quatre petites minutes seulement avant la fin du film.

C'est un Chambonnais de 16 ans, Louis Théo, qui interprète ce jeune homme en quête d'identité. Il avoue avoir mis du temps à rentrer dans la peau du personnage






Le jeune braqueur de 17 ans, maîtrisé par ses victimes

Un jeune homme de 17 ans a tenté de braquer le magasin Spar de Marsac (Creuse), mercredi. Bien qu'armé, il a été finalement maîtrisé par le gérant et deux clients.

Une peur bleue, mais du sang-froid. Il a fallu maîtriser l'une et mobiliser l'autre, mercredi, au magasin Spar de Marsac (Creuse).

Il est 16 h 30 et quelques clients font leurs courses lorsqu'un jeune homme fait irruption, le visage dissimulé par un foulard et des lunettes de soleil.... la montagne.fr

Les conseillers généraux bientôt dépouillés

Quand un quotidien gratuit se met à faire de l’investigation journalistique, ce n’est pas forcément pour amuser la galerie. 20 minutes publie dimanche soir un résumé de l’avant-projet de loi de la réforme des collectivités territoriales, qui a déjà fait l’objet de deux suggestions controversées ces deux dernières années. Surprise : les révélations du journal sont conformes aux souhaits de l’UMP !

Pour le moment, affirme 20 minutes, rien n’est encore tout à fait au point : "des paragraphes sont laissés vides à dessein". Mais l’avant-projet de loi donne néanmoins une vue claire de la réforme, et de son ampleur. "Principale collectivité à perdre des prérogatives : le conseil général". Jacques Attali avait provoqué un tollé général au moment de divulguer le rapport de la Commission pour la Libération de la Croissance le 23 janvier 2008. Un an plus tard, Édouard Balladur en remettait une couche avec toutefois un peu de confiture pour faire passer.

Le premier texte sur la réforme des collectivités territoriales "sera quoiqu’il arrive présenté avant la fin de l’été pour être présenté au Parlement avant fin septembre", avait assuré Xavier Bertrand au journal Le Figaro le 14 juillet dernier. Un texte, a-il prétendu, et un premier seulement, comprendra les principes généraux de la réforme et notamment les rares points de consensus. Il y a ainsi quasiment unanimité pour l’achèvement de la carte des intercommunalités en 2011. Mais les conseils généraux n’ont pas été oubliés dans l’affaire, et ils y laissent quelques plumes.

Le conseil général n’aurait plus aucune compétence sur le nouveau territoire de la métropole, une façon différente d’appeler les communautés urbaines. "Les départements sont mis sous tutelle", peste un élu local cité par 20 minutes et qui a eu vent du projet. "Surtout que dans certains départements, l’agglomération de la ville principale représente près de la moitié de la population. Cela préfigure la fin du conseil général". Dans le projet, les mandats de conseillers généraux et régionaux vont finir par fusionner pour devenir des conseillers territoriaux.

Suite à la levée de boucliers provoquée par Jacques Attali, le groupe UMP de l’Assemblée nationale a examiné chacune des propositions le 13 mai 2008 pour présenter sa vision des réformes nécessaires. Il "n’envisage plus la suppression de l’échelon départemental, mais un rapprochement entre le département et le conseil régional : il s’agirait de faire siéger les conseillers généraux en collège régional". Ainsi se trouve-t-il tout à fait en phase avec l’avant-projet de loi qui devrait être présenté pendant que les élus locaux se dorent la pilule dans leur terre d’élection ou ailleurs.

La difficulté d’une telle réforme des collectivités territoriales, Édouard Balladur l’avait bien compris avec l’habitude de fréquenter les élus locaux dans ceux du RPR, rue de Lille, puis de l’UMP, avenue de la Boétie, est de comprimer le millefeuille administratif sans faire pression sur les conseils généraux. Les députés UMP n’ont pas dit autre chose en affirmant que "les conseillers généraux, qui puisent leur légitimité dans le scrutin uninominal majoritaire, pourraient assurer à la fois un mandat départemental et un mandat régional".

"Lorsque Jean-Pierre Raffarin initia ce qu’il intitula l’acte II de la décentralisation", explique Bruno Rémond, professeur à l’Institut des sciences politiques, "il commença par esquisser l’idée que l’armature territoriale française devait reposer sur le couple État-Région, développant ainsi les propos tenus par Jacques Chirac deux ans auparavant dans un discours prononcé à Rennes, discours d’où il ressortait qu’il y avait trop de niveau de collectivités locales en France". La réforme des collectivités territoriales s’inscrit donc dans le droit fil d’un mouvement amorcé depuis un bon moment. Le problème est encore de savoir ce que deviendront les conseillers généraux.

Avec les conseillers territoriaux, Nicolas Sarkozy a décidé de ne pas trancher. Suivant la suggestion des députés de sa majorité, "Ils se réuniraient en collège départemental ou régional en fonction de la nature des questions à régler". Ça ne mange pas de pain et tout le monde est content… À voir lorsque les conseillers se verront chevaucher les mêmes questions dans chacune des collectivités, en se regardant en chiens de faïence selon qu’ils sont issus d’un collège départemental ou régional. À la rupture, Nicolas Sarkozy préfère ainsi la confusion.


 À la redécouverte des châteaux creusois


Jusqu’au 3 septembre2010, les Archives départementales présentent leur grande exposition été, consacrée aux châteaux creusois.

Cette exposition est née d’une envie de remettre en lumière le patrimoine castral de notre département. Une exposition consacrée aux châteaux avait déjà été réalisée par le service éducatif des Archives départementales de la Creuse en 2001. Mais, il s’agit ici d’étudier de façon plus précise les caractéristiques architecturales de certains châteaux, en insistant de manière pédagogique à la fois sur la chronologie de l’élévation de ces monuments et sur le vocabulaire.

L’exposition propose ainsi de découvrir le château-fort. Résidence du seigneur, le château implanté soit sur un site naturellement fort, soit sur une motte plus ou moins artificielle, est le cœur du territoire, (la châtellenie) sur lequel s’exerce au Moyen-Âge les pouvoirs seigneuriaux. L’expression château-fort est un pléonasme au Moyen-Âge car tout château était fort. Cette expression imprécise permet seulement de distinguer l’habitat nobiliaire fortifié du Moyen-Âge des plaisantes demeures d’Ancien Régime.

La période des XIIè-XIVè siècles peut apparaître comme l’âge d’or d’une autre organisation : le castrum. Mais ce que l’on appelle depuis le XIVè siècle un château ne correspond pas à ce que les textes médiévaux antérieurs à la guerre de Cent ans nommaient castrum. Ce terme avait un sens beaucoup plus large : il désignait une véritable agglomération composée de différents habitats : la résidence seigneuriale, les hôtels des chevaliers et seigneurs, les maisons des autres résidents du village castral.

suite article : conseil général de la creuse