samedi 19 mai 2012

Les législatives en creuse sont lancées

Dans trois semaines, vous devrez élire votre député. La liste des candidats est maintenant officielle

Voici, reprise d'un article plus étoffé, la liste des candidats dans la creuse d'aprés la montagne.fr

Marie-Hélène Pouget-Chauvat,

 pour le Front de gauche. Marie-Hélène Pouget-Chauvat, 58 ans, professeur de mathématiques, membre du PCF, est maire-adjointe en charge de la culture, la jeunesse et l’éducation à Bourganeuf. Elle est aussi vice-présidente de la Communauté de communes de Bourganeuf-Royère, responsable de la politique de territoire et du pôle local d’accueil. La particularité du Limousin, et de la Creuse tout spécialement, est d’avoir réuni sous la “Terre de gauche” le PCF, le PG mais aussi le NPA et les alternatifs. C’est donc Aymeric Martin, militant du NPA est syndicaliste qui a été choisi suppléant. Pontarionnais de 24 ans, préparateur en pharmacie hospitalière au CHU de Limoges, il se dit « fier de porter cette candidature ».


Cédric Bessuand

(né Stifter), pour Debout la République. On ne sait pas grand-chose de ce candidat pour le parti de Nicolas Dupont-Aignant. Sur Internet, on trouve une photo et une localisation : il semble être de Dun-le-Palestel. Sa suppléante porte le même nom que lui, il s’agit de Chantal Bessuand.




Patrick Aïta,

pour Centre pour la France (Modem et alliés). Les centristes creusois sont réunis dans un mouvement nommé Centre pour la France. Son candidat est Patrick Aïta, maire sans étiquette de Saint-Georges-la-Pouge. Il a été, avant sa dissolution, le président départemental de l’UDF. Aujourd’hui, il n’est pas adhérent au MoDem, contrairement à Éric Daubechies son suppléant, président du mouvement démocrate en Creuse.
A 65 ans, est maire de Saint-Georges-la-Pouge depuis 1995, médecin généraliste à la retraite. Il a été candidat deux fois à des élections en Creuse, des cantonales, sous la bannière UDF. Chargé « rassembler les différents courants centristes aujourd’hui dispersés », il proposera pendant cette campagne « un programme à la fois national et pour la Creuse », autour de différents thèmes : le handicap, la santé, l’éducation, la production française, le désendettement et « la solidarité, pas l’assistanat ».




Jean Auclair

pour l’UMP. Député de la seconde circonscription d’Aubusson depuis 1993, Jean Auclair, 66 ans, est éleveur et négociant de bestiaux à Cressat dont il est aussi le maire et conseiller général du canton d’Ahun. Membre du RPR pour de l’UMP, il s’est très vite identifié comme un “sarkolâtre” et a toujours défendu le président de la République sortant. Membre du groupe de la droite rurale à l’Assemblée nationale, il est le patron de la droite républicaine en Creuse. Il a choisi comme suppléante Valérie Simonet, conseillère générale d’Auzances.


Michel Vergnier

 pour le Parti socialiste. Élu depuis 1997 dans la première circonscription de la Creuse, celle de Guéret, et réélu en 2002 et 2007, Michel Vergnier, 65 ans, se présente sur l’unique circonscription de La Creuse. Instituteur à la retraite, maire de Guéret depuis 1998, il préside depuis le décès d’André Lejeune en 2009, la communauté de communes de Guéret/Saint-Vaury. Situé à la gauche de Parti socialiste, d’abord Chevènementiste, il a soutenu Martine Aubry lors de la primaire de 2011. À l’Assemblée nationale, il a présidé la commission ESB au moment de la crise, à la fin des années 1990 et a déposé, avant la présidentielle, un projet de loi sur le bouclier rural. Il a choisi comme suppléante Martine Laporte, maire de Vidaillat.


Roger Gorizzutti

 pour Lutte Ouvrière Pour cette élection Lutte Ouvrière sera, pour la 3e fois consécutive, représentée par Roger Gorizzutti, 56 ans, directeur d’école. Il a choisi pour suppléante Francine Baduel, 55 ans, infirmière en milieu psychiatrique et qui est en fait à ses côtés lors de chaque élection. Pour Lutte Ouvrière, il est nécessaire d’être « présent sur le terrain électoral mais encore plus sur le terrain, tout simplement. Le départ de Sarkozy et l’élection de François Hollande n’ont rien changé… Le grand patronat, les actionnaires, les banques sont toujours là. Ce sont eux qui vont encore faire la pluie et le beau temps ». Et LO de défendre l’idée qu’il faut « se donner un programme de lutte pour inverser le rapport de force ».


Felix Crespo,

 pour l’Alliance écologiste indépendante. Parti peu connu, l’AEI a été fondé par Jean-Marc Governatori dont on retient surtout la grève de la faim qu’il a conduite voilà quelques mois pour protester contre le fait qu’il n’arrivait pas à réunir ses 500 signatures pour la présidentielle. Felix Crespo, 57 ans, bouquiniste sur Internet installé à Nouhant a décidé de se présenter, pour la première fois de sa vie à une élection : « J’ai été convaincu par le score du Front national qui exige de se mobiliser. L’AEI est un parti qui m’a semblé intéressant parce qu’il est loin du marxisme, du nationalisme et du libéralisme et qu’il est pour refonder un pacte social entre les hommes et avec la nature ».
Il a choisi comme suppléante Cécile Pinault, 39 ans, en phase de création d’entreprise à La Souterraine.


Martial Maume,

 pour le Front national. Martial Maume, 42 ans, natif de l’Allier où il réside toujours à Treignat, est employé de pompes funèbres à Boussac. Sympathisant du FN depuis 1984, il y a adhéré en 1993 et s’est présenté pour lui aux régionales de 2010 en Auvergne. Secrétaire départemental du FN 23 depuis 2011, il a conduit la campagne de Marine Le Pen en Creuse à la dernière présidentielle. Pour la législative, il compte se mettre « dans la roue de la campagne de Marine au niveau national. Jusqu’à maintenant, cela nous a plutôt bien réussis ». Il a choisi comme suppléante Chantal Dupré, du canton de Boussac.


Baptiste François,

 pour Europe-Ecologie/Les Verts. Âgé de 25 ans, secrétaire national à l’emploi au sein d’un mouvement rural de la jeunesse chrétienne, Baptiste François est domicilié à Saint-Maurice- la-Souterraine. Très présent pour la campagne d’Eva Joly en Creuse, il se présente pour la première fois à une élection législative. Sa campagne sera axée sur la démocratie et la dénonciation du cumul des mandats?; la défense des circuits courts pour l’agroalimentaire et la défense des services publics

vendredi 18 mai 2012

La virée creusoise à Evaux les bains

Remise des prix pour le concours des enfants
  UN CIRCUIT ROUTIER TOURISTIQUE ET GASTRONOMIQUE EN CREUSE

Un  premier jour de virée pour la Virad'A à consonance Creusoise ce vendredi 18 mai 2012.

 Une épopée au départ d'Evaux-les-Bains qui verra son apogée sur la place de la mairie  en ayant sillionné, Mainsat, Bellegarde, Néoux, Felletin , Banizette ,
Royère, La Rigole du Diable, Vallière, Saint-Sulpice-les-Champs, Masgot , Ahun, Chénérailles, Gouzon.

Après une découverte du centre thermal, toutes ces grandes dames de la route se sont stationnées sur la place de la mairie et dans les rues adjacentes ou un public très chaleureux les attendaient.


Un partenariat de communication pour la cité thermal
Comme le rappelle Monsieur Campos, le premier magistrat de la ville, la Virad'A est une image très joviale pour notre ville. Nous vous encourageons à perdurer dans votre ligne de conduite et nous vous remerçions par la qualité encore cette année de la pluralité de ces très belles et grandes voitures qui nous rapelle notre passé.


Monsieur Campos et Stéphane Mayet,  une histoire d'Evaux les bains
J'ai une pensée bien respecteuse pour un ami et créateur de cette Virad'A, Jean Marie Mayet et, poursuit'il,  je suis très heureux et fier d'avoir fait la connaissance de son fils, Stéphane.


 

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La Virad'A est en route

C'est parti pour  la Virad'A 2012 à Evaux les bains


Sous un magnifique soleil, les grandes dames de la routes se sont donnés rendez vous place de la poste à Evaux les bains. Quatre jours de beauté et de splendeur sur les pas de la Creuse et des départements limitrophes. Le périple s'achèvera dimanche matin pour une grande parade au casino d'Evaux les bains.


  Un visuel de communication pour la station thermale d'Evaux les bains.
La Virad’A des voitures de collection a été lancée en 1996 dans le cadre des animations de la cité thermale creusoise d’Evaux -les- Bains.

Elle est l’œuvre de Jean-Marie Mayet, ancien journaliste automobile à Genève et Creusois d’origine, qui a regroupé autour de lui une trentaine de bénévoles pour son organisation. Elle a bénéficié, dès ses débuts, des conseils techniques de trois grands spécialistes français de la voiture ancienne : Jean-François "Francky" DUMONTANT, propriétaire du musée automobile de Rempnat, Gilles FAUCON, organisateur des "Grand Prix rétro" de Divonne et de Vichy, Bruno VENDIESSE, grand professionnel de la voiture ancienne.

mercredi 16 mai 2012

Encore et encore les camions

Accident d'auto-école dans la Manche : un routier en garde à vue

 

ILLUSTRATION. Un moniteur d'auto-école et son élève de 18 ans ont été tués mardi dans un accident de la route à Saint-Hilaire-Petitville (Manche). Le chauffeur du poids lourd qui a percuté leur véhicule a été placé en garde à vue.Un moniteur d'auto-école et son élève de 18 ans ont été tués mardi dans un à Saint-Hilaire-Petitville (Manche) et le chauffeur du poids lourd qui a percuté leur véhicule a été placé en garde à vue.

«Le choc a été très violent», ont indiqué les pompiers.
Le moniteur âgé de 50 ans est sur le coup et son élève, qui était au volant, est décédé des suites de ses blessures, quelques heures après l'accident. Le jeune homme avait été transporté par hélicoptère au CHU de Caen avec un pronostic vital déjà «très engagé», selon les pompiers.

Selon les premières constatations, la voiture d'auto-école, qui circulait sur une route nationale, a été heurtée à l'arrière par un poids lourd de 19 tonnes, alors qu'elle avait ralenti ou s'était arrêtée pour tourner à gauche. La voiture a été projetée sur un autre poids lourd de 19 tonnes arrivant en face. Le chauffeur du premier poids lourd a été placé en garde à vue pour homicide involontaire, a indiqué le procureur de la République, Gaudeul.

Les gendarmes avaient indiqué dans l'après-midi qu'il ne semblait pas «a priori» que la responsabilité du jeune conducteur soit engagée, mais que les enquêteurs devaient vérifier qu'il avait bien signalé son intention de tourner. Le procureur n'avait pas plus d'éléments à ce sujet.

mardi 15 mai 2012

La carte scolaire, c'est quoi ?

La « carte scolaire » renvoie au découpage géographique d’une ville ou d’un département en secteurs d’affectation des élèves. Elle ne concerne que les écoles, collèges et lycées publics. Concrètement, cela signifie que votre enfant doit obligatoirement être scolarisé au sein de l’établissement le plus proche de votre domicile principal (ou du domicile principal de l’un de ses deux parents en cas de séparation).


En France, ce système a été instauré en 1963, dans le but de favoriser la mixité en faisant en sorte que des enfants issus de milieux sociaux différents soient amenés à se côtoyer. Force est de constater que, du fait de la ségrégation croissante de l’espace urbain, la carte scolaire n’a pas empêché une certaine « ghettoïsation ». Ce phénomène est renforcé par les stratégies d’évitement que nombre de
familles mettent en œuvre afin d’éviter la scolarisation de leur enfant dans un établissement non désiré.

lundi 14 mai 2012

Législatives 2012, Michel Vergnier




Réunions publiques


( Première réunion à 18h, seconde réunion à 20h)

14 mai : Gentioux & Royère
15 mai : Saint loup & Chambon sur Voueize
16 mai : Genouillac & Chatelus Malvaleix
21 mai : Evaux les Bains & Auzances
22 mai : Mainsat & Bellegarde en Marche
23 mai : Chénérailles & Jarnages
24 mai : Lavaveix les Mines & Ahun
25 mai : Grand-Bourg & Bénévent L’Abbaye
29 mai : Saint Sulpice le Guérétois & Saint Vaury
30 mai : Crocq & La Courtine
31 mai : Fresselines & Dun le Palestel
1er juin : Vallière & Felletin
4 juin : St Dizier Leyrenne & Bourganeuf
5 juin : Clugnat & Boussac
6 juin : Saint Sébastien & La Souterraine
7 juin : Saint Amand & Aubusson
8 juin : Guéret (20h)

dimanche 13 mai 2012

Manifestation Tuning à Evaux les bains

Une jolie journée ensoleillée à evaux les bains en ce dimache 13 mai 2012.L'amicale du marché vieux organisait sa traditionelle première fête de l'année. Malgré une météo très clémente et propice à la promenade, peu d'exposants et peu de passants. C'est bien dommage confit Bernard Morand le président de l'association,  je me  donne bien du mal pour essayer de faire des choses, mais la je ne comprend pas, ai je fais des erreurs de communicatio
n., pas grave, continut'il, ce qui compte ce n'est pas la quantité, mais la qualité et je suis très heureux d'accueillir tous ces jeunes venus des alentours. Je vous donne rendez vous dès le 6 juillet 2012 pour notre quinzième Rock et motos avec de très beaux spectacles et animations nouvelles, toujours aussi spectaculaires.

Les coûteux privilèges dont va bénéficier Sarkozy

 Nicolas Sarkozy a perdu l'élection, mais en tant qu'ancien président, il va profiter de nombreux privilèges...

à vie ! Voyages gratuits, bureaux mis à disposition, chauffeurs, indemnités... Tour d'horizon de ces avantages coûteux pour le contribuable.
 On se sait pas encore vraiment ce que fera Nicolas Sarkozy après son retrait effectif de la vie politique. Ce qui est certain cependant, c'est qu'il bénéficiera à vie de tous les privilèges accordés aux anciens présidents de la République française.
Pour commencer, selon la loi du 3 avril 1955, le président sortant reçoit "une dotation annuelle d'un montant égal à celui du traitement indiciaire brut d'un conseiller d'Etat en service ordinaire". Cela signifie que Nicolas Sarkozy touchera environ 6 000 euros brut par mois. Et cette indemnité reste cumulable avec d'autres pensions ou salaires. Ainsi, l'ancien président pourra ajouter à ces 6 000 euros 4 000 euros par mois correspondant au montant de sa retraite d'ancien président du Conseil général et de député des Hauts-de-Seine, et au montant de sa retraite de maire de Neuilly-sur-Seine.
22 000 euros par mois
Question argent, Nicolas Sarkozy pourra également recevoir 12 000 euros par mois de plus s'il choisit de siéger au Conseil constitutionnel, comme peuvent le faire à vie tous les anciens présidents de la République. Valéry Giscard-d'Estaing et Jacques Chirac ont d'ailleurs fait ce choix. Finalement, chaque mois, Nicolas Sarkozy pourrait toucher environ 22 000 euros brut, presque le même revenu que celui qu'il s'était accordé en tant que président.
Par ailleurs, Nicolas Sarkozy pourra profiter à vie d'une carte lui permettant de voyager de façon illimitée avec la SNCF et Air France. Lors d'un éventuel déplacement à l'étranger, l'ambassadeur de France dans le pays en question l'accueillera et s'occupera de lui trouver un hébergement. Et pour ses déplacements plus courts, l'ancien président disposera d'une voiture de fonction et de deux chauffeurs.
Des collaborateurs et des policiers payés par l'Etat
Nicolas Sarkozy se verra aussi mettre à disposition par l'Etat un bureau, souvent situé dans les beaux quartiers de la capitale. Il bénéficiera également de 7 collaborateurs payés par l'Etat (un directeur de cabinet, un employé des archives nationales, deux secrétaires particuliers et trois secrétaires dactylo).
Enfin, pour assurer sa protection, deux fonctionnaires de police seront présents en permanence à ses côtés, et son domicile personnel sera mis sous surveillance par des policiers.
1,5 million d'euros par an
Mais tout ceci a un coût ! S'il varie selon les choix des anciens présidents, on peut tout de même évaluer le montant moyen de tous ces privilèges. Selon René Dosière, député apparenté PS spécialiste des comptes de l'Etat et auteur du livre L'Argent de l'Etat, chaque ancien président coûterait chaque année environ 1,5 million d'euros. Avec Valéry Giscard-d'Estaing et Jacques Chirac, cela fera donc environ 4,5 millions d'euros par an pour nos anciens présidents...