samedi 19 mars 2011

Kadhafi menace d'attaquer en Méditerranée

Après avoir poussé à l'adoption, jeudi, d'une résolution au conseil de sécurité de l'ONU, la France a pris la tête d'une action militaire en Libye samedi. La première frappe aérienne française a été tirée à 17h45, heure de Paris, soit deux heures après la fin du sommet international organisé dans la capitale française, qui réunissait des dirigeants arabes, européens et nord-américains.

Peu après 20h30, la France a été rejointe par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Les deux puissances ont annoncé avoir bombardé par air et par mer des objectifs en Libye. Des attaques aussitôt qualifiées de «barbares» par les autorités libyennes.

Selon Al Jazeera, quatre journalistes de la chaîne sont détenus par les autorités libyennes à l'ouest du pays. Il s'agit d'un Tunisien, un Mauritanien, un Norvégien, et un Britannique.

Enregistrement sonore de Mouammar Kadhafi diffusé par la télévision officielle. Comme il l'avait évoqué jeudi dernier, le leader libyen menace d'attaquer des objectifs «civils et militaires» en Méditerranée, devenue, selon lui, un «vrai champ de bataille». Il estime que «l'agression croisée injustifiée» menée par la coalition internationale «renforce le peuple libyen». Il annonce aussi que les dépôts d'armes sont ouverts pour défendre la Libye.

C'est parti pour les frappes aériennes en Libye

C'est parti pour les frappent aériennes en Libye. Après la résolution des Nations Unies et le mépris du colonel kadafi, l'alliance des nations est entrée en action cet après midi.

Le Président Français l'annonce actuellement sur les chaines d'informations. Une intervention sur mandat du conseil avec nos partenaires, confirme Sarkosy. Une intervention pour que le peuple Libyen vive dans la liberté.

En clôture du sommet de Paris sur la Libye, Nicolas Sarkozy a déclaré "nous avons décidé de mettre en oeuvre tous les moyens nécessaires, y compris militaires en Libye. Nos avions empêchent les attaques aériennes sur la ville. D’autres avions français sont d'ores et déjà prêts à intervenir contre des blindés qui menaceraient des civils". "En l’absence d’un cessez le feu immédiat, nos pays auront recours à des moyens militaires" a-t-il également expliqué.

la porte de la diplomatie est ouverte du moment que les forces du colonel se replient et cesse les tirs sur le peuple Libyen confirme le président français.

Creuse - Limousin (23)-Résultats des élections

Creuse - Limousin (23)-Résultats des élections
Canton Auzances


Cantonales 2011 à Chambon

Creuse - Limousin (23)-Résultats des élections-
Canton Chambon-sur-Voueize




Spectaculaire vidéo: le tsunami vu de l'intérieur d'une voiture

Le film est tourné par un conducteur qui empruntait une route à Asahi, dans la province de Chiba. D'un coup, une énorme vague recouvre la route et emporte sa voiture comme un fétu de paille.

vendredi 18 mars 2011

Les cantonales en quelques chiffres révélateurs

Le PS, premier en nombre de candidats


Dans cette avalanche de chiffres, le PS est le mouvement qui présente le plus de candidats: 1.516. Suivent le Front national (1.440), le PCF (1.374), les Verts-Europe écologie (1.172), de l'UMP (1.138).


Plus de 10 000 candidats abordent le scrutin des cantonales. Age, sexe, étiquette: quelques données permettent de mieux cerner cette élection complexe.

Une abstention au sommet?
 Considérées comme mineures par rapport à d'autres scrutins locaux (régionales, municipales), les élections cantonales affichent souvent un niveau élevé d'abstention. Lors du renouvellement partiel de 2008, près de 45% des inscrits avaient déserté les urnes lors du second tour. Cette année, la défiance à l'égard de ce scrutin pourrait culminer. Selon une étude menée par l'Ifop pour Marianne et Europe 1, 59% des personnes interrogées considèrent que les cantonales ne seront importantes ni pour leur situation personnelle, ni pour celle du pays. En comparaison, 68% estiment que le scrutin présidentiel aura un impact réel sur leur vie quotidienne. Découplées cette fois des élections municipales, les cantonales devraient enregistrer un pic d'abstention. L'institut Ipsos table ainsi sur une fourchette oscillant entre 50 et 60% des inscrits soit "au minimum un Français sur deux".

Plus de 10.000 candidats

Les cantonales se distinguent aussi par un nombre pléthorique de candidats. De quoi brouiller les repères des électeurs. A trois ans de la réforme administrative qui doit introduire les conseils territoriaux, 10.361 postulants se présentent dans les 2026 cantons renouvelables. En 2004, ils étaient plus de 12.000 à briguer un siège départemental.

Une parité… encore lointaine

Si les candidats titulaires ont l'obligation depuis 2008 de choisir un suppléant de sexe opposé, la parité fait défaut sur la ligne de départ. Selon les chiffres de l'Assemblée des départements de France (ADF), les femmes ( 2.405 candidates) sont ainsi trois fois moins nombreuses que les hommes (7.956) à concourir pour un mandat local. Toutefois, ce différentiel tend à légèrement se résorber par rapport à 2004. Symbole de ce déséquilibre actuel, seules six femmes sont présidentes de conseil général, sur 101.

Plusieurs générations de candidats

Si le profil du candidat "quadra ou quinqua" domine, certains partis n'ont pas hésité à jouer avec la gamme des générations. Du côté des benjamins du scrutin, le Front national a ainsi misé sur une dizaine de "jeunes espoirs" âgés de 18 ans pour porter ses couleurs. Le parti d'extrême-droite se distingue également chez les "vétérans". Ils seront ainsi 34 à défendre le mouvement de Marine Le Pen sur la quarantaine de candidats âgés de plus de 80 ans.

Un trop plein de candidats?

Certains cantons s'illustrent par leurs armadas de postulants. Le canton qui a le plus de candidats est celui de Saint-Denis de La Réunion, avec 13 prétendants. Il est suivi de Versailles-sud, Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), Saint-Paul (La Réunion), Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), la Seyne-sur-Mer (Var) où se présentent dans chaque cas 11 personnes.

Dix candidats "sans adversaires"

A l'inverse, 10 cantons ne concentrent qu'un seul candidat. Privés d'adversaires, ces prétendants isolés se situent en Corse-du-Sud (cantons d'Olmeto et de Zicavo), dans l'Hérault (Le Caylar), en Isère (Valbonnais), en Lozère (Saint-Germain-de-Calberte), dans la Manche (Périers), en Guadeloupe (La Désirade), en Martinique (Le Robert-1) et en Guyane (Cayenne sud-ouest et Mana).Pour ces candidats atypiques, les règles du jeu ont logiquement été changées. Pour franchir le premier tour et… être élu, chaque candidat devra ainsi réunir au moins 25% des électeurs inscrits. Faute de remplir cette condition, ce clan des "10" affrontera un second tour symbolique. Ici, une seule voix suffira.

Tsunami au Japon : de nouvelles vidéos amateur



Cette vidéo a été filmée deux heures après le séisme de 11 mars. Un habitant filme l'eau qui commence à se répandre dans les rues. Ce ne sont d'abord que quelques flaques, qui ensuite se transforment en torrent. En quelques minutes, la ville est noyée. La population prise au piège tente de se protéger comme elle peut.

jeudi 17 mars 2011

Japon : la radioactivité a encore augmenté à Fukushima

Les prochaines heures seront cruciales pour rétablir le niveau d'eau dans la piscine de stockage du combustible usé du réacteur 4 alors que de la fumée ou de la vapeur s'échappe du réacteur 2.

Le compte à rebours continue. Après le séisme et le tsunami qui ont frappé le Japon vendredi dernier, les accidents se succèdent à la centrale nucléaire de Fukushima, à 250 km de Tokyo.

  « Nous commençons à remettre en cause les informations officielles » La France recense ses stocks de pastilles d’iodeLes indiscrets. Sarkozy au Japon ?Japon :
 «Quand j’ai su que c’était un incident nucléaire, j’ai paniqué» Course contre la montre mortelle à Fukushima

Après plusieurs explosions, la situation est dramatique, le combustible menaçant d'entrer en fusion dans les réacteurs 3 et 4.

 L'enceinte de confinement du réacteur 3 paraît endommagée alors que la piscine de stockage de combustibles du réacteur 4 s'assèche. L'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) craint des rejets radioactifs «très importants».

Théatre au casino d'Evaux les bains

Repas de pâques à evaux les bains le 24 avril 2011

Les cantonales en vidéo


Vous souhaitez vous informer sur les directions que vont prendre vos élus et futurs élus, Newstelevision à filmé les débats pour vous . http://www.newstelevision.fr/

mercredi 16 mars 2011

Ca sert a quoi de voter dimanche pour les cantonales ?

Dernier grand rendez-vous au suffrage universel  avant la présidentielle de 2012, les élections cantonales des 20 et 27 mars 2011 sont aussi les dernières où les Français éliront des conseillers généraux.

Au regard des très nombreux commentaires sur les blogs et sites, cette élection aura certainement une réflexion nationale. Très nombreux ne savent pas à quoi servent les cantonales et pour eux se sera un vote plus politique que régional. Des surprises sont à prévoir, il suffit seulement de voir comment certaines étiquettes se sont évaporées pour comprendre les surprises à venir lors de cette élection... Une répétition de la présidentielle 2012 à prévoir.

Je navigue alors sur la toile et voilà ce que je trouve sur le site de l'insee (www.insee.fr) :

« Le canton est une subdivision territoriale de l'arrondissement. C'est la circonscription électorale dans le cadre de laquelle est élu un conseiller général. Les cantons ont été créés, comme les départements, par la loi du 22 décembre 1789. Dans la plupart des cas, les cantons englobent plusieurs communes. Mais les cantons ne respectent pas toujours les limites communales : les communes les plus peuplées appartiennent à plusieurs cantons. Un canton appartient à un et un seul arrondissement. Si le canton accueille encore, en principe, certains services de l'Etat (gendarmerie, perception), la loi du 6 février 1992 relative à l'administration territoriale de la République et le décret du 1er juillet 1992 portant charte de la déconcentration l'ignorent totalement. »

Typiquement le type de définition complexe qui ne m'apprend rien en fait. Le plus étonnant, c'est la fin. Les lois de décentralisation ignorent le canton.

Alors à quoi ça sert un canton à part à faire élire un conseiller général ? Ledit conseiller général va siéger au département. C'est peut-être là en fait que je trouverai des réponses. Le canton ne sert peut-être qu'à une seule chose, dessiner des territoires pour élire des conseillers. Pfff... comme si on n'avait pas assez de collectivités territoriales en France.

Les élections cantonales permettent d'élire les conseillers généraux de chaque département. Ceux-ci sont élus pour six ans et siègent au Conseil général, l'instance qui décide des orientations politiques données au département. Parmi les principales compétences du Conseil général figurent la gestion de plusieurs aides sociales comme le RSA ou le fond de solidarité pour le logement (FSL), la gestion des collèges, ou encore la gestion des routes. Pour éviter de renouveler entièrement les cantons tous les six ans, seulement la moitié d'entre eux le sont tous les trois ans.

Les médias sont focalisés sur les élections municipales. Mais le même jour se déroulent d'autres élections : les élections cantonales. Celles-ci intéressent peu les électeurs car elles ont pour but d'élire des conseillers généraux dont le travail est souvent ignoré par la population. Pourquoi ces élections cantonales n'intéressent-elles personne ? Tout simplement parce que chaque élection se déroule sur une circonscription aux contours inconnus, qui ne recouvre aucune réalité territoriale tangible. Un canton est un regroupement de villes, la plupart du temps ignoré par les électeurs. A chaque changement de carte électorale, le canton n'inclut pas les mêmes villes. Dès lors, ces élections sont considérées comme subalternes alors que le conseil général gère des secteurs essentiels de la vie quotidienne des citoyens. Quels sont les enjeux de ces élections cantonales ? A quoi servent-elles ?

Qu'est ce qu'une élection cantonale ?

Les élections cantonales permettent aux électeurs d'élire, par la voie des urnes, les conseillers généraux. Contrairement aux maires, les conseillers généraux agissent au niveau départemental. Un maire peut siéger au Conseil général et cumuler les deux fonctions. Les élections cantonales ont donc pour but de faire élire des conseillers généraux qui devront gérer la politique du département.
Un conseiller général est élu pour 6 ans, mais le conseil général est renouvelé par moitié tous les 3 ans. Comme les élections cantonales sont peu plébiscitées par l'opinion, elles se déroulent systématiquement en même temps que des élections municipales ou des élections régionales.
Depuis 1789, le Conseil général est composé de plusieurs cantons dont le nombre varie d'une région à l'autre. Comme pour les élections législatives ou l'élection présidentielle, les élections se font en deux tours. Deux candidats seulement participent au second tour. Le candidat qui a obtenu la majorité des suffrages remporte les élections et peut siéger au Conseil général. Les différents cantons d'un département sont représentés chacun par un conseiller général.


Les élections cantonales sont celles qui intéressent le moins les français


L'élection présidentielle est l'élection qui intéresse le plus les Français, suivi par l'élection du maire. Dans les deux cas, d'un bout à l'autre de l'appareil administratif français, les citoyens ont le sentiment que leur vote influe sur le destin national et sur la conduite de la ville. La région est déjà une circonscription administrative plus lointaine, même si elle est devenue la norme dans la plupart des pays d'Europe.

Reste donc les départements, gérés par des conseils généraux, dont les membres sont élus lors d'élections cantonales qui battent à chaque fois des records d'abstention au point d'être organisées le même jour que les élections municipales ou régionales. Pour simplifier le découpage administratif du territoire et faire des économies de gestion, le rapport Attali a d'ailleurs proposé de supprimer les départements et de transférer leurs compétences aux régions. Les citoyens ignorent tout du rôle du conseil général et la notion de canton échappe à la très grande majorité des habitants. Finalement, seuls les responsables politiques refusent la suppression des départements car cela supprimerait d'autant le nombre de fonctions électives. Or, le poste de « conseiller général » est souvent très prisé par les responsables politiques qui pratiquent le cumul des mandats.

Les conseils généraux sont pourtant plus riches que les régions


Les régions sont plus connues que les conseils généraux. Pourtant, ceux-ci disposent d'un budget beaucoup plus élevé que celui des régions. Ainsi, en 2007, le budget des départements, donc des conseils généraux, s'élevait à 63 milliards d'euros alors que les régions ne pèsent que 25 milliards d'euros. Cet écart s'explique par le rôle déterminant des conseils généraux sur toutes les questions sociales. Ce sont les conseils généraux qui s'occupent du paiement du RMI, des aides aux handicapés et aux personnes âgées. Et ces dépenses seront amenées à croître régulièrement. Voilà pourquoi les départements ont un poids financier beaucoup plus important que celui des régions. En outre, les conseils généraux assoient leur légitimité en étant le principal distributeur des subventions aux communes. L'aide financière apportée à un maire est souvent capitale, pour restaurer un bâtiment, financer des travaux de voirie ou aménager un rond-point. En guise de remerciements, le maire peut alors favoriser tel ou tel candidat lors des élections sénatoriales auxquelles seuls les élus ont le droit de voter. De fait, le parcours politique des conseillers généraux s'achève souvent par un mandat de sénateur.

Séisme de magnitude 3,5 à Argenton en 1990

 Le 2 juin 1990, un mini-séisme avait touché la Vallée de la Creuse. Rien de comparable, toutefois, avec celui qu'ont subi les Japonais.

En 1990, on avait craint pour la poterne du château de Gargilesse, en piteux état, qui devait être restaurée. - (Photo archives NR) Le dernier mini-séisme enregistré en France, de magnitude 3 sur l'échelle de Richter - qui compte 9 degrés -, s'est produit le 7 mars dernier à Laon (Aisne), selon le Réseau national de surveillance sismique (Rénass), à Strasbourg.
La terre bouge aussi sous les pieds des Berrichons. Rien de comparable avec le tremblement de terre survenu au Japon mais elle tremble quand même. Nous sommes en effet sur la plaque architectonique des Pyrénées avec une « coulée » qui part approximativement du Menoux et Chavin et qui remonte sur Le Pêchereau et Argenton-sur-Creuse, pour redescendre ensuite vers Vigoux.
La plus forte magnitude connue, 3,5 sur l'échelle de Richter, a été enregistrée le 2 juin 1990, dans la Vallée de la Creuse. Cette secousse avait été ressentie par les habitants de Gargilesse et de l'agglomération d'Argenton. Le château de Gargilesse avait légèrement tremblé et on s'était inquiété, à l'époque, pour son ancienne poterne qui devait être restaurée. Les personnels du barrage d'Éguzon avaient également entendu une détonation sans que l'édifice ne soit ébranlé.

Nouveau tremblement à Argenton en 2005

Depuis 1980, on a enregistré plus d'une dizaine de secousses comprises normalement entre 1,6 et 2,5. Après le tremblement de 1990, Argenton a connu une nouvelle secousse d'une magnitude de 3,4, le 17 juin 2005, en soirée. Beaucoup d'habitants avaient cru alors qu'il s'agissait d'une explosion et avaient appelé les pompiers. Un agent EDF-GDF était même intervenu pour rechercher une éventuelle fuite de gaz.
Tout est possible avec Dame Nature mais les habitants de l'Indre peuvent toutefois être tranquilles. En consultant le Rénass, on comprend vite que ce sont certains départements du sud et du nord de la France qui comptent le plus de secousses. Parfois imperceptibles.

Cantonales à Chambon-sur-Voueize : Qui pour succéder à Joël Souchal ?

Un nouveau nom s'inscrira sur la liste, à Chambon-sur-Voueize où un conseiller général en cache un autre.

Sur la place Aubergier du chef-lieu de canton, une plaque apposée sur une maison aux volets verts indique : « Ici a vécu le docteur Aubergier, homme de bien, médecin dévoué, conseiller général de la Creuse, maire de Chambon - 1820-1884 ».

De l'autre côté de la rue, dans sa pharmacie de l'avenue Georges-Clémenceau, un autre homme de santé, porte un regard d'actualité sur huit années d'un mandat qu'il a décidé de ne plus exercer. Une décision prise depuis juillet 2010. Âgé de 57 ans, pharmacien à Chambon-sur-Voueize depuis 25 ans, Joël Souchal - qui a abandonné également, « pour des raisons personnelles et professionnelles », ses mandats de maire et de président de la communauté de communes Évaux-Chambon - observe que la proximité de la RN 145 est un facteur important pour le désenclavement du canton et sa sécurité routière. Il rappelle que les routes d'Évaux-Budelière et Évaux-Chambon ont été refaites quand il était conseiller général. Il a aussi bouclé le dossier de la médiathèque. « La Com-com apporte beaucoup, ici : OPAH, étude sur l'assainissement collectif, piscine. C'est là que tout se décide, au niveau économique », poursuit Joël Souchal.

Le conseiller sortant qui ne se représente pas verrait bien Nicolas Simonet, le jeune maire de Nouhant, âgé de 33 ans (plus jeune maire de Creuse et du Limousin en 2008), lui succéder, au sein du groupe d'opposition de l'assemblée départementale. Dans un hôtel des Monneyroux où, estime t-il, « les réunions sont trop politisées ; il faut se préoccuper d'abord des Creusois ».

« Rien n'est acquis », prévient Nicolas Simonet, qui se présente sans étiquette. « Nous avons un problème médical ici, avec le prochain départ de deux généralistes », relève t-il, faisant de la santé l'axe principal de la campagne. Le secteur est le principal employeur du canton et cela se confirmera avec la prochaine maison médicale (adossée à l'EHPAD, projet porté par la Com-com)

Le canton est à droite depuis 22 ans, depuis que le RPR Jean Nicolaon, conseiller municipal de Budelière, avait succédé au PCF Raymond Aucouturier, maire de Budelière. Et Bruno Noble, premier secrétaire du PCF creusois, aimerait bien que quelque chose change ici. Audacieux ? Il le souhaite, car il souhaite sortir le canton de « l'immobilisme » dans lequel l'a laissé Joël Souchal, selon lui. Pour cela, il faudrait que Creuse Terre de Gauche - ce mouvement rassemblant notamment le Front de gauche (Parti de gauche et PCF) et le Nouveau parti anticapitaliste - prenne pied dans ce coin de l'est-creusois.

Pour Anne Bridoux aussi, unique femme titulaire du PS dans ces élections et maire de St-Loup, « c'est un gros challenge ». Bien que sa commune ne fasse pas partie de cette Com-com (mais de celle du Carrefour des 4 provinces), la prof de français de Chambon assure que « le rôle de la Com-com Évaux-Chambon est mal perçu des petits villages, délaissés ».

La Montagne

Comment Marine Le Pen séduit au-delà du FN

Par son style et son discours, la patronne du FN réussit à toucher un électorat plus large que celui de son père.

Elle semble loin l’époque où les sympathisants du Front national osaient à peine confier leur sensibilité politique. Aujourd’hui, afficher sa préférence pour le parti de Marine Le Pen n’est plus un tabou. Comme en témoignent les récents sondages — qui la créditent de 21 à 24% d’intention de vote pour la présidentielle —, mais aussi les nombreuses réactions recueillies par les autres partis sur le terrain.

Un programme très coûteux« Il faut donner une bonne leçon aux partis »L’UMP tente de résisterUn nouveau sondage place Marine Le Pen face à DSK au 2e tourToutes nos vidéos sur Marine Le PenCantonales : des enjeux différents pour les partis politiquesLe PS favori des cantonalesDe plus, selon une enquête TNS Sofres révélée hier pour « la Matinale » de Canal +, 28% des Français se disent d’accord avec les idées du Front national, contre 22% en janvier dernier.

« Le vague bleue marine »

A quatre jours du premier tour des élections cantonales, le FN va-t-il traduire dans les urnes cette percée dans l’opinion publique? Paradoxalement, rien n’est moins sûr. « Ces élections, ce sont les pires pour nous », lâche Marine Le Pen. Son parti ne compte aujourd’hui aucun conseiller général dans ses rangs. Et la récente modification du mode de scrutin, qui fixe désormais la barre à 12,5% des inscrits (contre 10% auparavant) pour être présent au second tour, ne va rien arranger. « En clair, si l’abstention est au-dessus de 50%, comme c’est à craindre, il nous faudra faire plus de 25% pour être qualifié dimanche soir. C’est énorme! » craint Michel Guiniot, délégué national.

Alors, au parti, on s’organise. Sur les 2023 cantons renouvelables, 1450 auront un candidat du Front. Tous ont reçu un kit de campagne, composé d’affiches sur le thème de « La vague bleue marine », d’un modèle de profession de foi et d’un document de 4 pages déclinant les principales propositions du parti. En campagne, les candidats frontistes, souvent peu connus de la population locale, jouent à fond la carte Marine Le Pen pour espérer gagner des voix. « Ils fondent tout sur la popularité de leur présidente, raille Karl Olive, candidat UMP dans le secteur de Poissy-Sud. D’ailleurs, dans mon canton, mon adversaire du FN est totalement absent. On ne sait même pas à quoi il ressemble… »

Financement de Sarkozy par Kadhafi en 2007 : l'Elysée dément

Financement de Sarkozy par Kadhafi en 2007 : l'Elysée dément

Allons nous connaitre enfin, les magouilles de Sarko.  Le fils de Muammar Kadhafi, Seif Al-Islam, affirme que le régime libyen aurait financé la candidature de Nicolas Sarkozy en 2007.

Lors de la campagne électorale pour la présidentielle 2007, le régime de Muammar Kadhafi aurait financé la candidature de Nicolas Sarkozy. C'est ce qu'assure le fils du dirigeant libyen, Seif Al-Islam, dans un entretien à Euronews. Interrogé sur la position de la Libye vis à vis de la France, premier pays à avoir reconnu l'opposition libyenne, le fils Kadhafi a répondu : «Tout d’abord, il faut que Sarkozy rende l’argent qu’il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale». 

Lors de cet entretien, Seif Al-Islam poursuit : «C’est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler. La première chose que l’on demande à ce clown, c’est de rendre l’argent au peuple libyen. Nous lui avons accordé une aide afin qu’il oeuvre pour le peuple libyen, mais il nous a déçus». Il menace ensuite : «Rendez-nous notre argent. Nous avons tous les détails, les comptes bancaires, les documents, et les opérations de transfert. Nous révélerons tout prochainement».

Risque nucléaire : des pastilles d'iode distribuées à Saint-Pierre-et-Miquelon

Risque nucléaire : des pastilles d'iode distribuées à Saint-Pierre-et-Miquelon

Par mesure de précaution, des pastilles d'iode vont être distribuées aux 6 000 habitants de Saint-Pierre-et-Miquelon.

Le préfet de la collectivité d’outre-mer Saint-Pierre-et-Miquelon, Jean-Régis Borius, a annoncé ce mercredi à 15h30 (12h30 sur place) sur les ondes de la radio locale que des pastilles d’iode allaient être distribuées, par mesure de prévention, à la population. L'objectif est que «chacun puisse disposer de ce médicament» en cas de retombées de particules radiocatives émanant des centrales nucléaires japonaises.

Les pastilles d’iode doivent être prises au cas où «le nuage radiocatif» viendrait à atteindre ce territoire français de 6 000 habitants, situé au large de l’île canadienne de Terre-Neuve. «On en est encore loin», a-t-il rassuré.

La radioactivité provoque des lésions au niveau de la thyroïde qui peuvent être évitées en absorbant des pastilles d’iode. Mardi, la ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, a expliqué que la France se prépare à «l’arrivée éventuelle» d’un nuage radioactif à Saint-Pierre-et-Miquelon, archipel situé à près de 5 000 km de Paris. «Les courants atmosphériques passent relativement peu facilement d’un hémisphère à l’autre et, si notre territoire était exposé, ce serait plus probablement Saint-Pierre-et-Miquelon que nos territoires du Pacifique», a-t-elle souligné à l’Assemblée nationale.

Pour info

mardi 15 mars 2011

Nouvelle vidéo au Japon



Quatre jours après le séisme et le tsunami destructeur qui a suivi, le Japon est confronté à un accident nucléaire majeur. Une explosion sur le réacteur numéro 2 de la centrale de Fukushima, qui a endommagé le bâtiment de construction, et un incendie sur le réacteur numéro 4, jusque-là épargné, laissent redouter le pire. SUR LE MÊME SUJET

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Face à l'incertitude, une donnée qui effraie les marchés financiers, l'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo a chuté lourdement à la clôture de 10,55%.

Les Parisiens sont plus verbalisés que les Provinciaux

« Question contredanses, les Français ne sont pas égaux [...]

Un conducteur de la Creuse est cinquante fois moins exposé aux papillons qu'un Parisien !» , peut-on lire dans Auto Plus. Le magazine dresse dans son édition d’aujourd’hui le palmarès des procès verbaux dressés dans le pays en interrogeant 1000 conducteurs de 15 ans (circulant en cyclomoteur) à 85 ans dans les 100 départements français (Outre-Mer compris). Les plus malchanceux sont… les Parisiens ! Ils arrivent en tête avec 3320 PV dressés en 2010 pour 1000 conducteurs. Le magazine précise que ce chiffre a baissé de 2% depuis l’année précédente.
Le deuxième département est le 92, les Hauts-de Seine, en banlieue parisienne, dont le nombre de PV est en hausse de 6% avec 1294 PV pour 1000 habitants. Ensuite, ce sont les Alpes-Maritimes avec un chiffre stable de 1148 PV puis le Rhône avec une hausse de 3%, annonçant 775 PV pour 1000.
Les Français les moins verbalisés habitent dans la Creuse avec 68 PV pour 1000 habitants, dans la Haute-Saône, 98 pour 1000, ou dans la Manche, 127 pour 1000. A noter que le nombre de PV dans ces départements est en baisse de 1 à 7% depuis l’année précédente.
Les départements ayant connu la plus forte augmentation du nombre de contraventions sont l’Yonne (+42%), la Haute-Marne (+31%) et la Loire-Atlantique (+30%). En revanche, le nombre de PV a fortement chuté en Guadeloupe (-31%) et en Martinique (-16%).
Source Autoplus

LE 19/03/2011 EXPOSITION SUR LA GUERRE D'ALGÉRIE À BUDELIÈRE

LE 19/03/2011 EXPOSITION SUR LA GUERRE D'ALGÉRIE À BUDELIÈRE

Présentation sur panneaux de cartes postales,photos, documents, lettres, témoignages, revues, journaux d'époque, et quelques objets.

info Japon

Nouveau tremblement de terre de magnitude 6 frappe actuellement à 120 km au sud de Tokyo.

Le centre thermal à Evaux les bains, Ouverture du 28 Mars au 29 Octobre 2011

 En 2010, l'Etablissement Thermal a reçu
 le 1er Prix en Catégorie Immeubles Collectifs
 pour la Campagne Départemental de Fleurissement
Ouverture du 28 Mars au 29 Octobre 2011

Vous pouvez obtenir des renseignements complémentaires si vous le désirez en contactant le 05 55 65 50 01. Une équipe est à votre écoute.

C'est avec plaisir que nous vous accueillerons du lundi au samedi de 8h à 12h et de 13h30 à 17h30 (sauf le vendredi où les bureaux adminsitratifs ferment à 16h30).

Visite des thermes en dehors des heures de soins
Les soins se déroulent du lundi au samedi de 7h à 12h45.
A compter du mois de Mai-Juin, les soins seront en continu jusqu'à 15 heures voir au-delà selon les réservations....

NOUVEAUTE 2011 : LA FIBROMYALGIE


A partir de cette saison, l'Etablissement Thermal va mettre en place des programmes de traitements afin de soulager ces maux :
•Equipements d'hydroxeurs dernière génération avec option 'Fibromyalgie'
•Douche sous-marine
•Atelier thérapeutique
•Aquagym
•Diététique
•Somato-relaxologie (Méthode de revitalisation favorisant le lâcher-prise physique et mental et le rééquilibrage énergétique)
•Acupressure (Technique dérivée de l'acuponcture sans les aiguilles)


Pour recevoir gratuitement, la brochure d'information des thermes d'Evaux-les-Bains, merci de nous contacter simplement par :
Mail : evaux.thermes.hotel@wanadoo.fr

Téléphone : 05.55.65.50.01
Fax : 05.55.65.59.16

Tremblement de terre au Japon (photos)

Il est vrai, je ne suis pas très croyant, mais lorsque nous découvrons l'empleur de cette catastrophe, toutes les quelques prières que je connais sont pour vous peuple japonais. Puissiez-vous tous retrouver la paix et la force de continer!







 
 
 
 

Cantonale sur Ahun : Le rayonnement de Jeannot à l'épreuve

 Rayonnant, Jean Auclair l'est depuis qu'il a ? selon ses termes ? « sauvé la radiothérapie ». À cette simple aune, rempiler sur le canton d'Ahun ne devrait être qu'une promenade de santé. Mais le rayonnement de Jeannot est-il toujours le même en 2011 ?
Y aura-t-il un second tour à Ahun ? Comme en 2004 ? C'est toute la question de cette veille de scrutin sur ce canton que l'on pensait, en 2004 comme en 2011, aussi indéboulonnable « qu'imballotable ».

Le premier intéressé, Jean Auclair, ne veut pas y croire. Il y a sept ans, assure-t-il, les voix qui lui manquèrent au premier tour étaient passées dans l'escarcelle d'un Front national. Ce coup-ci, pas de FN, pas de Modem, pas même de DVD : il occupe tout le champ à droite. Face à lui, la gauche aura deux têtes : le socialiste Jean-Claude Trunde son "ballotteur" de 2004, et Joël Lainé qui entend ratisser les voix pour Creuse Terre de gauche. Le second a pour mission de réaliser ces 15 à 20 % qui permettront à CTG de crier à la victoire même sans un seul vainqueur. Le premier, lui, nourrit des espoirs. Ceux qu'ils devinent dans la déception de l'électorat de droite et dans l'usure qu'il croit voir dans la carapace du sortant.

Et en étant le seul à droite, le score de "Jeannot", qu'il soit bon ou mauvais, ne portera donc que la marque de son héritage sur ce canton. Le député-maire de Cressat a donc ouvert le carnet à souche et fait les comptes de tout ce qu'il a apporté au canton : en subventions, aides, crédits aux communes et associations du coin, il aligne des sommes folles : les 1,9 M? d'investissement qu'il a permis dans les communes ou les 120.000 ? aux associations du canton quand le CG n'aurait donné que 36.000 ?... Il y a la maison de retraite qu'il est allé « chercher avec les dents » et les services, petits et grands, qu'il a rendus à Pierre et à Paul : « Moi, quand quelqu'un a besoin de moi, je ne lui demande pas son étiquette politique, je l'aide, c'est tout ».

Et, au bout de la liste, il y a un Jean Auclair qui ne veut pas croire que 2004 se reproduira : « Franchement, avec tout ce que j'ai fait pour ce canton et ses habitants... »

Face à lui, Jean-Claude Trunde entend mobiliser son camp, cette gauche modérée, ces militants associatifs, ces amateurs de culture... tout un public qui se pince souvent le nez lorsqu'on évoque "Jeannot" en leur présence. Campagne molle ? Pas vraiment, plutôt réaliste. Car le maire du Moutier est seul sur le front. Le PS aurait pu miser sur Ahun, mais il a préféré envoyer Fabius et Denanot faire meeting à Châtelus-Malvaleix (qu'il pense prenable), plutôt qu'Ahun.
Quant à Jean Auclair, sa stratégie Père Noël se complète toujours d'un volet Père Fouettard pour dénoncer, pêle-mêle ? les socialistes et leurs impôts, le Conseil général et son président, la téléphonie mobile et le haut débit qui cafouille... Des charges attendues dans le langage fleuri qu'aime à manier l'ancien marchand de bestiaux...

Est-ce que sa stratégie et sa tactique, dont il use depuis 25 ans, ne seront pas trop usées ? C'est aussi cela qui se mesurera dimanche prochain : un Jeannot encore d'aplomb, ou usé et fatiguée, comme à dit l'autre.

Pensez - vous qu'un nuage radioactif puisse venir du Japon sur la France, si jamais le phénomène s'aggrave ?

L'ampleur de la catastrophe au Japon semble d'ores et déjà inquiétante et pourrait bien dépasser celle survenue à Tchernobyl il y a 25 ans et considérée jusqu'à hier comme la plus grosse catastrophe nucléaire de tous les temps. Si tel était le cas, ce n'est pas seulement la côte est du Japon qui aurait lieu de s'inquiéter, mais bien le Japon tout entier, Hawaï, la côte ouest de l'Amérique du sud et du nord, la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie, l'île de Pâques, les îles Marianne... Et la planète entière, car on a appris depuis Tchernobyl qu'un nuage radioactif n'arrête pas sa course aux frontières des États et qu'il peut parcourir des centaines de milliers de kilomètres en disséminant partout ses particules nocives : le césium 135, dont la durée de vie est de 2,5 millions d'années, le césium 137 (30 ans) et l'iode 131 (8 jours).



L'ambassade de France au Japon a démenti mardi qu'un nuage radioactif se dirigeait vers la région de Tokyo, affirmant que la plus grande mégapole du monde "n'était pas menacée par les retombées radioactives".

"Des informations provisoires recueillies tôt dans la matinée n'ont pas été confirmées et elles ont été immédiatement retirées du site de l'ambassade", a déclaré à l'AFP un porte-parole.

"Les prévisions météorologiques indiquent que le vent est en train de tourner : Tokyo n'est pas menacée par les retombées radioactives", a précisé un communiqué de l'ambassade. Une explosion s'est produite mardi matin dans le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Fukushima 1 au nord-est du Japon, endommageant l'enceinte de confinement, qui n'a cependant pas été trouée.
"Au-delà d'un rayon de 30 km de la centrale, la radioactivité observée n'est pas à un niveau nécessitant des mesures spécifiques de protection de la population", a indiqué l'ambassade.
Elle conseille à ses ressortissants de suivre les consignes des autorités japonaises: "en dehors d'un rayon de 30 km autour de la centrale, c'est-à-dire notamment à Tokyo, la situation ne nécessite pas de se protéger particulièrement pour la journée". "A titre préventif, nous vous conseillons de faire des provisions d'eau et de nourriture et de vous tenir prêt pour un éventuel calfeutrage de votre habitation", conclut le communiqué.

Un peu plus tôt, le Premier ministre japonais Naoto Kan avait appelé les personnes "qui se trouvent dans la zone distante de 20 à 30 km de la centrale de Fukushima à rester à l'intérieur des maisons ou des bureaux". Le gouvernement avait déjà appelé samedi plus de 200.000 personnes habitant dans un rayon de 20 km à évacuer la zone.


Danger nuage radioactif et symptômes/maladies :

Quelles sont les effets de la radioctivité nucléaire de Fukushima, les symptômes selon une faible exposition ou une forte exposition aux radiations.
Le parisien fait le point sur les dangers des nuages radioactifs et le risque de mort selon le nombre de sieverts reçus (Sv).
Forte exposition radiation nucléaire : Oedèmes cérébraux, destruction de la moelle osseuse, troubles vasculaires, effondrement du système immunitaire. => la mort peut survenir dans les 48h
Faible exposition radiation nucléaire : Perte des cheveux et des poils, cancer de la thyroïde, cancer du poumon, brûlures de la peau, destruction des globules rouges, blanc et plaquettes , risques de malformations pour les descendants = > les pathologies peuvent se déclarer des années plus tard.

Une information important selon le nombre de Sieverts (SV) reçus :
6 sieverts (comme les ouvriers de Tchernobyl) -> mort dans le mois
Entre 4 et 4,5 Sv => décès de 50% des personnes exposées
Entre 0,5 à 2Sv => réactions légères comem nausées ou vomissements
1 Sv par heure …c'est le niveau qui avait été détecté samedi près de Fukushima 1, bien entendu cela a augmenté depuis.

Cantonale à Auzances : trois challengers pour une sortante

 Dans le canton d'Auzances, la dernière élection cantonale avait été marquée par un duel entre deux nouveaux candidats. La divers droite Valérie Simonet l'avait emporté avec 51,4 % des voix.

 Ce 20 mars, trois nouveaux candidats viennent s'opposer en challengers à la conseillère générale sortante.

Alain Vigneresse (PS) est titulaire, depuis 2001, de mandats municipaux (à Châtelard puis à Auzances) et intercommunaux (depuis 2008)
 Didier Berthomier (PCF, Creuse Terre de Gauche)
 Gérard Desnos (Divers gauche) sollicitent pour la première fois les suffrages des électeurs...

vendredi 11 mars A- ccident mortel en Creuse -

 Un dramatique accident de la circulation s'est produit ce vendredi matin 11 Mars , aux alentours de 8 heures près de Saint-Julien-la-Genête. Seul a bord un automobiliste, âgé de 50 ans, circulant sur la départementale 996, a perdu le contrôle de sa voiture à la sortie d'un virage.
 Le véhicule a effectué plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser dans le bas-côté de la route.
 Le malheureux a été tué sur le coup, comme ont pu le constater les sapeurs-pompiers à leur arrivée.

 Cet accident mortel porte à trois le nombre de personnes tuées, sur les routes creusoises, depuis le début de cette année.

Laurent FABIUS lance la campagne des cantonales en Creuse




Avec du retard, voici des infos relatives à l'élection de ce dimanche 19 mars 2011.
Vous allez me dire, cela sert à rien, non, VOTER c'est utile surtout dans ces périodes de tourments.
Vos énarques ne pourrons ignorer vos votes... Alors aux urnes ce dimanche

Cantonales à Aubusson : Des élections sans beaucoup de suspens

 Michel Moine apparaît en position de force face à une opposition affaiblie. Cinq candidats brigueront les suffrages des électeurs le 20 mars prochain.


Le canton apparaît plus fidèle à la gauche que la commune d'Aubusson, connue jusqu'à une période récente pour son instabilité politique. Peu de maires réussissaient en effet à enchaîner deux mandats.

À l'échelon cantonal, depuis l'après-guerre, seul le Dr Jean Mazetier, créateur de la clinique de La Croix-Blanche et « patron » de l'UDF départementale a réussi à écarter les socialistes des affaires cantonales pendant huit ans. Le canton se plaît à envoyer siéger à Guéret des notables. Le sénateur Paul Pauly, maire d'Aubusson de 1965 à 1973, s'est offert le luxe de représenter le canton pendant 28 ans mais aussi de présider le Conseil général de 1946 à 1973. Le Dr Victor Pakomoff lui a succédé pendant sept ans. Puis est enfin venu le tour d'une femme, Jacqueline Defemme-Verdier, vice-présidente du Conseil régional. Elle a trouvé, en 2004, un successeur en la personne du jeune maire d'Aubusson, élu en 2001. Depuis, Michel Moine s'est forgé une personnalité politique, tout en étant relativement marginalisé au sein du PS creusois, Il cherche aujourd'hui à étendre son influence en misant sur le redécoupage intercommunal en projet. Ce fidèle d'Arnaud de Montbourg est déjà parvenu à conforter son influence au niveau du canton. Ainsi, les dernières élections municipales l'ont vu facilement l'emporter à Aubusson alors que ses proches s'imposaient dans plusieurs communes. Il a ainsi réussi à faire taire les oppositions qui agitaient jusqu'alors la Com-com Aubusson-Felletin. La mairie de Saint-Amand échappe encore à son influence mais son maire, Jean Marie Le Guiader (UDF) qui s'est contenté d'un maigre 3,68 % au premier tour des cantonales de 2004, a renoncé, cette année, à se présenter. Jean-François Ruinaud, le maire de Néoux, en devenant vice-président de la com-com, a cessé de faire entendre sa différence. Lui aussi s'était présenté aux cantonales en 2004 mais il avait seulement recueilli 6,34 % des voix.

Michel Moine n'a plus guère d'opposition locale, que ce soit à la mairie ou à la com-com. Pierrette Legros, ancien maire UMP de Saint-Avit-de-Tardes, l'a affronté aux dernières municipales. Elle peine depuis à faire entendre sa voix à la tête d'une opposition qui accumule les démissions et les absences. Pierrette Legros retrouve, ce mois de mars, Michel Moine en qualité de remplaçante de Claude Teyton, ancien maire adjoint de Pierre-Henri Bos. Claude Teyton qui ne fait pas mystère de ses sympathies politiques (ami de J. Auclair), se présente pourtant comme indépendant. Il rencontre sur son chemin Jean-Marie Massias, lui aussi adjoint de P.-H. B. Son ex-colistier, devenu DVD fait équipe avec Laurence Chevreux, premier adjoint de la commune de Saint-Amand. Mathieu Charvillat (MODEM) incarne la jeunesse. Michel Moine qui fait équipe avec Vivette Le Hellaye pourra compter, au second tour, sur l'apport de Claudine Léporati (Creuse Terre de Gauche), membre de son équipe municipale et son ancienne adjointe aux sports.

Cantonales : l'UMP joue une partition clandestine dans la Creuse

Jean Auclair au conseil régional du Limousin, en 2010. Elu UMP se présente "sans étiquette" aux cantonales des 20 et 27 mars dans la Creuse.
  Il n'y aura pas, aux élections cantonales, de candidat UMP dans le département de la Creuse ! Pas même Jean Auclair, pourtant député de la deuxième circonscription, et secrétaire national du parti chargé de l'élevage. Ni Nicolas Simonnet, secrétaire départemental. Ni Gérard Gaudin, président de l'opposition Droite républicaine (8 élus) à la majorité de gauche (19 élus) au conseil général.

Non que l'UMP ait décidé de bouder le scrutin, mais parce que ses sortants et nouveaux candidats se présentent cette fois sous l'appellation "sans étiquette".

Pourquoi cette soudaine discrétion, surtout de la part de Jean Auclair, qui n'a pas pour habitude de mettre son drapeau dans sa poche ? C'est que, répond cet éleveur et négociant en bétail, qui s'honore d'un "relationnel important auprès des ministres", "nous ne nous battons pas pour notre parti, mais pour la Creuse. A Paris, nous faisons de la politique, ici nous travaillons avec toute la population".

Contrairement aux élus socialistes, ces "marquis", qui ne connaissent de la vie que "les cours de récréation", et dont, a-t-il expliqué au quotidien régional La Montagne , "le seul objectif est de marginaliser la Creuse pour lui donner comme flambeau identitaire la révolution et les drapeaux rouges".

"LA FÉDÉRATION A DÉCIDÉ DE SE METTRE EN SOMMEIL"

L'explication de Nicolas Simonnet, le secrétaire départemental du parti, n'est pas la même : "Si le sigle et le logo UMP sont absents de notre campagne, c'est que la fédération de la Creuse a décidé de se mettre en sommeil, par désaccord avec le peu de cas que fait ce gouvernement des problèmes de la ruralité. Nous ne pouvons pas cautionner la décomposition du tissu départemental. Ce n'est pas une décision sans effet : le parti ne va pas financer cette campagne, nous allons devoir la payer nous-même".

Un dossier a particulièrement agité, depuis un an, la vie politique et sociale d'un département hypersensible à tout ce qui touche à l'animation et la défense du milieu rural : la fermeture du centre de radiothérapie de l'hôpital de Guéret, en juin 2010.

"Une erreur magistrale de Roselyne Bachelot [ancienne ministre de la santé]", selon M. Auclair, et dont le successeur au gouvernement, Xavier Bertrand, a annoncé, le 8 mars, la remise en activité, "au plus tard à la rentrée de septembre".

Le député-candidat aux cantonales y voit une justification de l'efficacité de ses interventions en haut-lieu ; la gauche creusoise une preuve qu'après des mois de manifestations et six mois de "gel des relations" entre ses élus locaux et l'autorité préfectorale, "la lutte a payé" et imposé ce recul.

Le corps électoral creusois arbitrera, le 20 et le 27 mars, entre ces deux argumentations.

lundi 14 mars 2011

Bonjour à tous

De retour ce jour à Evaux, le blog va redevenir informatif. Je remercie tous les messages de soutient et les messages de sympathie des lecteurs du blog.